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Cette assertion que «Berryer eut bientôt découvert la phrase-clef,» prouve tout simplement que l'auteur de ces notices est de la dernière innocence en fait de science cryptographique. M. Berryer sans aucun doute arriva
Mais voici qui est plus fort. On pourrait facilement construire une phrase-clef, où un seul caractère représenterait six, huit ou dix lettres. Imaginons-nous le mot iiiiiiiiii se présentant dans une cryptographie
D'autre part, les cryptographies, qui nous ont été envoyées par notre correspondant de Stonington, identiques en construction avec le chiffre résolu par Berryer, n'offrent pas ce même avantage. Examinons par exemple la seconde de ces énigmes. Sa phrase-clef est: «Suaviter in modo, fortiter in re.»
Supposons une lettre de ce genre interceptée et la phrase-clef inconnue, on peut imaginer que l'individu qui essaiera de la déchiffrer arrivera, en le devinant, ou par tout autre moyen,
La phrase-clef de cette cryptographie est: «A word to the wise is sufficient .»
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