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M. de Lucan avait cru devoir cependant envoyer chercher la baronne de Pers,

D'une culpe argué je suys Tres grande se tu le sçavoyes Tant courroucé que plus ne puis Je pers quasi toutes mes joyes Tourmenté suys en mille voyes De voir ceste femme plourer En cest estat et souspirer Car l'ire qu'el a tresdespite Est a justement comparer Trop plus grande que le merite Sed decet archanum celari semper amantum Nam dixisse nocet cum dolor omnis abest.

Une autreffoiz vous avancez Plus tost, et alors toute gent Vous recuilliront autrement; Et pers

Haa ma fille que feras tu Se tu trois ceste male femme Ton fait ne vaudra ung festu Folle deviendras et infame Pour dieu garde ta belle fame Ne pers point ta virginité Pucellage est grant dignité Amours

Pers., II, 4; Ædific., IV, 11. Marcellin. Com., Chron., ad ann., 538. Jorn., Temp., Succ. Procop., Bell.

Quin etiam Constantinopolim accessit, quem imperator maximis muneribus donatum... Theophan., Chronogr., p. 135. Quem imperator humanissime tractatum Illyricum præfectum dimisit. Cedren. t. I, p. 372. Voir Procop. Bell. Pers., I, 24, 25. Chron. Pasch., p. 336-340. Theophan., Chronogr., p. 154-158. Cedren., t. I, p. 369. Jorn., Temp. Anast., p. 63. Cedren., t.

Quels noms penses tu donc qu'on te doive donner, Quand on te void tout fuir, & tout abandonner? Quand pressé des vapeurs de ta melancolie, Pour des illusions tu quittes Pamphilie? Quand tu pers tout respect? quand tu changes de loy? Quand tu trahis tes Dieux, & ton Prince, & ta foy?

Guillaume de Nangis dit: Vel panno viridi seu bruneto. Ce que nos anciens poètes appellent comme tous leurs contemporains: Le vair et le gris. Pers, bleu.

Elle avait les yeux pers, les cheveux blonds, les traits fins et réguliers, les mains très belles. Son visage était d'une très belle coupe, bien proportionné, le teint de lis: il s'enflammait quand elle parlait de Dieu et lui donnait une beauté ravissante. Sa figure était ineffablement limpide, tout y respirait une paix céleste. Enfin tout paraissait parfait en elle.

Je gaingne temps, et pers mainte sepmaine; Je joue et ris, quant me sens douloreux; Desplaisance j'ay, d'esperance plaine; J'actens boneur en regret angoisseux; Rien ne me plaist, et si suis desireux; Je m'esjois, et courre