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Ce présent inattendu, la rougeur modeste de la petite fille et son compliment balbutié dissipent, comme un rayon de soleil, l'espèce de brouillard qui m'enveloppait le coeur; mes idées passent brusquement des teintes plombées du soir aux teintes les plus roses de l'aurore; je fais asseoir Paulette et je l'interroge gaiement.

A la vue de la lampe, du poêle et du visiteur qui se tient comme un magicien au milieu de ces merveilles, ils reculent presque effrayés. Paulette est la première

Maintenant, Paulette est l'épouse d'un notaire et la mère de deux jeunes messieurs forts en thèmes. Et il y a de tout cela quinze ans. Hélas! oui, Paulette; déj

Le violier a fleuri dans un vase grossier, et Paulette, qui est cartonnière, l'a enveloppé d'un cache-pot en papier verni, embelli d'arabesques. Les ornements pourraient être de meilleur goût, mais on y sent la bonne volonté attentive. Violier commun. On appelle aussi violier la giroflée.

Tout est convenu avec mon voisin le fumiste: il répare le vieux poêle que j'avais remplacé, et me répond de le rendre tout neuf. A cinq heures, nous devons partir pour le poser chez la grand'mère de Paulette.

Avant le dîner, quand je revins dans le salon, il s'était repeuplé. J'y retrouvai, avec Mme Bonaparte et Mme Berthier, cette jolie Paulette, alors plus impatiente de devenir Mme Leclerc qu'elle ne l'a été depuis d'être princesse Borghèse.

Pourquoi, bien entendu? demanda la maman, qui s'amusait de l'enthousiasme de sa fillette. Oh! reprit Suzanne, les tresses, c'est bon pour des mauviettes comme moi, comme les autres, comme Berthe, comme Lydie, comme Paulette, comme..., comme Marthe Lemoyne....»

Celle-ci, qui revient aussi de soirée, a franchi le marche-pied avec une impatience fébrile, et je l'ai entendue murmurer: Enfin! En quittant la famille de Paulette, moi, j'avais dit: Déj

Mademoiselle Paulet étoit fille d'un Languedocien qui inventa ce qu'on appelle aujourd'hui la Paulette, invention qui ruinera peut-être la France . Sa mère étoit de fort bas lieu et d'une race fort diffamée pour les amourettes. Elle disoit que son père étoit gentilhomme; sa mère menoit une vie assez gaillarde. Mademoiselle Paulet avoit beaucoup de vivacité, étoit jolie, avoit le teint admirable, la taille fine, dansoit bien, jouoit du luth, et chantoit mieux que personne de son temps ; mais elle avoit les cheveux si dorés qu'ils pouvoient passer pour roux. Le père, qui vouloit se prévaloir de la beauté de sa fille, et la mère, qui étoit coquette, reçurent toute la cour chez eux. M. de Guise fut celui dont on parla le premier avec elle. On disoit qu'il avoit laissé une galoche en descendant par une fenêtre. Il disoit qu'il lui sembloit avoir toujours le petit chose de la petite Paulet devant les yeux. M. de Chevreuse suivit son aîné, et ce fut ce qui la décria le plus, car il lui avoit donné pour vingt mille écus de pierreries dans une cassette: elle la confia

Paulette est maigre, pâle, misérablement vêtue; mais c'est toujours le même oeil bien ouvert et regardant droit devant lui, la même bouche souriant