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Paris, lundi 19 mars au soir 1861. Mon cher Panizzi,

Adieu, mon cher Panizzi; je vous tiendrai au courant de nos affaires sénatoriales. Paris, du palais du Luxembourg, 1er mars

Adieu, mon cher Panizzi; tenez-vous en joie et en santé. Je suis un peu mieux depuis que le soleil a reparu, mais j'ai toujours l'estomac fort détraqué. P.-S. Le ministre de l'instruction publique fait une autre commission des bibliothèques dont il me fait président. Il s'agit d'aviser au déménagement et

Adieu, mon cher Panizzi; ne m'oubliez pas, et donnez-moi de vos nouvelles. Cannes, 2 décembre 1860. Mon cher Panizzi, Je ne sais encore rien et ne comprends pas davantage. D'après quelques renseignements qui viennent de bonne source, on pourrait croire qu'il s'agit d'une expérience.

Les maisons grecques de Smyrne, Marseille, Liverpool sont ruinées et vont tomber avec la banqueroute de l'empire ottoman. Je la crois très prochaine, et j'ai bien peur des conséquences. Ville-d'Avray, 21 avril 1861. Mon cher Panizzi, Je vous écris

Adieu, mon cher Panizzi; dites-moi ce que vous devenez et si nous partirons ensemble. Cannes, 31 décembre 1861. Mon cher Panizzi,

Je ne comprends pas et je déplore la campagne de lord Russell en faveur des Polonais, campagne dans laquelle il veut nous entraîner, et nous a probablement entraînés. Je tiens pour vrai un proverbe russe qui dit que le bon Dieu a pris ce que vous savez d'un ciron mâle pour faire la cervelle de tous les Polonais. Adieu, mon cher Panizzi. Portez-vous bien et donnez-moi de vos nouvelles.

Adieu, mon cher Panizzi; mille amitiés et compliments. Paris, 15 octobre 1860. Mon cher Panizzi,

Cannes, 10 mars 1862. Mon cher Panizzi, Je reviens d'une excursion dans nos montagnes . A deux mille pieds au-dessus du niveau de la mer, nous avions chaud et les orangers ont des fruits mangeables. Il y croît des asperges sauvages dont nous nous régalions et qui me rappelaient l'Italie. Les aimez-vous? on les adore ou on les déteste.

C'est un coeur et un estomac cosaque, qui digérerait du lion et du chameau. Adieu, mon cher Panizzi; tenez-vous en joie, et faites-vous le moins de mauvais sang possible au sujet des hommes et des choses. Paris, 11 juillet 1862. Mon cher Panizzi,