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La conférence déclarait dans ce protocole «que les propositions de cette note ne différaient en rien de celles qui, adressées il y avait plus de deux mois au comte Orloff

»A la contrariété près, il ne faut voir dans le retard du comte Orloff qu'une douzaine de jours de plus de délai, car les ratifications arriveront, j'en suis sûr, et sans l'affaire d'Ancône, elles seraient déj

»... Je ne sais rien du comte Orloff que des on-dit, mais je sais que quelque demande qu'il fasse, je ne soumettrai jamais la France

Orloff entendait tout et parlait peu. C'était un philosophe du nord. Comme il aimait son maître, il envoya sa droite

A la fin d'avril 1832, après dix-huit mois de discussions dans la Conférence de Londres et de négociations entre les sept puissances qui y étaient ou représentées ou intéressées, après de patients atermoiements et des tentatives répétées pour amener, entre les prétentions des Belges et l'opiniâtreté du roi de Hollande, une conciliation volontaire, la question belge était enfin résolue pour l'Europe. Le cabinet de Bruxelles avait accepté les vingt-quatre articles adoptés le 15 octobre 1831 par la Conférence pour régler la séparation de la Belgique et de la Hollande. Les cabinets de Paris et de Londres, de plus en plus unis, avaient ratifié pour leur compte ces articles, sans attendre l'adhésion finale des trois puissances du Nord. Le comte Orloff, envoyé

»Il n'y a point de nouvelles. La malle de Hollande est en retard de cinq jours. Je ne sais quel jour arrivera le comte Orloff, mais on l'attend chez les Lieven qui donnent des bals pour prouver que sa venue

Orloff nous présenta comme des «Français de Paris», ce qui fit sourire le moujik, sans qu'il parût comprendre; puis le guide plaisanta, tapota sur les bras nus de la bonne femme, la fit «tournevirer», lança quelques mots qui firent rire des soldats, et après force poignées de main, force salutations du vieux, nous redescendîmes vers le bateau.

Alexis Foedorowitch, comte puis prince Orloff, en 1786, servit dans l'armée russe durant les guerres de l'empire. Il devint général en 1828. En 1829, il signa le traité d'Andrinople avec la Porte, et fut en 1830 nommé ambassadeur

La Maison-d'Or était tenue par Barbe Mahaleur, dite «l'Amouret-la-Chance», ancienne guitariste, présentement cabaretière, sage-femme non reçue par la Faculté et Mère des chiffonniers. C'était une forte créature d'une cinquantaine d'années, taillée comme un homme et sabrée par la petite vérole. Elle avait les moeurs de la grande Catherine et battait cruellement ses Orloff.

»Aujourd'hui, malgré tous les moyens dilatoires employés par le roi des Pays-Bas, je dois croire que les ratifications du comte Orloff arriveront ici en même temps que lui, et qu'il sera ici au plus tard dans quinze jours. Les ministres hollandais ont reçu leur courrier et un mémoire, mais je crois qu'ils auront de la difficulté