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Avant eux, et presque au commencement du dix-huitième siècle, Crescimbeni avait donné en italien, dans le second volume de son Histoire de la Poésie vulgaire, une traduction de l'ouvrage de Nostradamus, avec des notes et des additions considérables tirées de divers manuscrits . Ces secours seraient insuffisants pour qui voudrait donner une histoire complète des Troubadours: il lui faudrait s'enfoncer de nouveau dans les manuscrits originaux et dans la volumineuse collection de Sainte-Palaye. Mais pour le but que je me propose, c'est-

A un autre moment de la journée, il murmura: «Nostradamus ne m'a-t-il pas affirmé qu'il avait obligé le corps astral d'un de ses enfants

Dans Nostradamus, cela est plus fort, il entend mille messes par jour, priant Dieu de pouvoir acquérir la grâce de sa dame; p. 42. Dans le texte provençal, six messes selon quelques manuscrits, et mille messes selon d'autres.

Il existe deux sources principales pour la biographie des troubadours: l'une ancienne, l'autre plus récente. Celle-ci est du célèbre Jehan de Notredame, plus connu sous le nom de Nostradamus, procureur du roi au Parlement d'Aix-en-Provence,

Précisément, au moment le roi son fils l'aborda, Catherine venait de congédier ses conseillers ordinaires, Nostradamus et les Ruggieri. On sait la foi sans bornes que la fille des Médicis avait aux sciences occultes.

La cour de Geoffroy, comte de Bretagne, fils de Henri II, roi d'Angleterre. Bertrand d'Alamanon. Voyez Nostradamus et Crescembeni, Vie I; Millot, t. I, pag. 85.

Oh! le jeune prince! ricanait grand-père quand je lui racontais ces merveilles, car il refusait d'assister aux assemblées que présidait l'abbé Nostradamus, jeune prince de soixante printemps!

Nostradamus n'a point parlé de lui. Voyez Crescimbeni, Giunta alle Vite, pag. 200, et Millot, tom. III, pag. 156. Dieu dit aux moines: Si vous le trouvez bon, je donne vingt ans pour se peindre aux femmes qui en ont plus de vingt-cinq; soyez plus généreux que moi, donnez-leur en trente.

La plus ancienne histoire des Troubadours qui ait été écrite en français, est celle de Jean de Notre-Dame, ou Nostradamus, procureur au parlement de Provence, frère du célèbre médecin et astrologue Michel Nostradamus, et oncle de César Nostradamus, auteur d'une histoire de Provence, il a fondu tout ce que cet oncle avait inséré dans ses Vies des Poëtes provençaux . Jean Nostradamus les publia la seconde année du règne de Henri III ; c'est plutôt un roman qu'une histoire. L'auteur y a rassemblé sans discernement, et sans le plus léger esprit de critique, les récits les plus fabuleux et souvent les plus contradictoires, sans égard pour la chronologie, et sans respect pour la vraisemblance. Il invoque cependant un garant de ce qu'il raconte: c'est l'ouvrage d'un bon religieux connu dans la littérature provençale, sous le nom de Monge, ou moine des Isles-d'Or. Ce moine, qui florissait vers la fin du quatorzième siècle, était de l'ancienne et noble famille génoise des Cibo. L'amour de l'étude l'engagea, dès sa jeunesse,

Gaucelm Faidit et Hugues Bacalaria. Voyez, sur le premier, Millot, t. I, p. 354: il ne fait que nommer le second en rapportant cette tenson, p. 374. Nostradamus nomme Gaucelm Anselme Faydit, Vie XIV; il ne dit rien de Hugues. Crescimbeni, son traducteur, appelle comme lui Gaucelm, Anselme Faidit, aussi Vie XIV; il donne de plus une petite notice sur Hugues,