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Accordez-moi donc une bonne journée tout entière avec le bon meunier, son fils et l'âne... Je ne vois autour de vous que le desservant de T... que nous puissions insulter ainsi. Je n'ose quasi pas vous embrasser après une pareille pensée. Nohant, lundi soir, 25 juin 1831.
Demain, Lina va voir sa mère; je vais lui faciliter toutes les allées et venues, pour qu'elle puisse gagner du temps et ne pas se fatiguer. J'aurai bien soin d'elle, tu peux être tranquille, et le plus vite possible nous retournerons vers toi et nos chéries fillettes, dont nous avons bien soif! Embrasse pour moi les jènes gens, comme dit Lolo. Nohant, 10 novembre 1869.
Nohant, 4 septembre 1827. Ma chère maman, Me voici de retour, depuis cinq ou six jours. J'ai été absolument empêchée d'écrire durant mon voyage. Toujours en route, soit
Bonsoir, mes enfants; soyez bénis. À vous! Sosthènes de la Rochefoucauld. Nohant, 20 août 1836.
Nohant est tout en feuilles et en fleurs, bien plus que Paris et Palaiseau. Il n'y fait pas froid; mais nous avons des bourrasques comme en pleine mer. Maurice a fini toutes les corrections que vous lui aviez indiquées. Il me charge de vous renouveler tous ses remerciements et de vous exprimer sa cordiale gratitude. Moi, j'ai
Je vous envoie un petit cavalier qui a du mouvement, quoique grossièrement incorrect. Il faut qu'il soit peintre. IL n'a de passion que pour cela. Je ne sais vraiment pas ce que j'en ferai, s'il n'acquiert pas ce genre de talent. Marie se porte médiocrement bien et vous serre cordialement la main. Je vous embrasse, moi, de tout mon coeur. Eugène Pelletan. Madame d'Agoult. Nohant, 5 avril 1837.
Nohant est content de vous savoir tous en bonne santé. Nohant va bien aussi, sauf les rhumes. L'année est humide et malsaine; les fanfans, Dieu merci, ne s'en ressentent pas. La ferme est sur un bon pied. La lumière se fait chaque jour, on a bon espoir. Cette première année a coûté de la peine et des avances; mais tout est couvert déj
Comment va la grosse Pauline ? Embrassez-la de ma part et de celle de Maurice. On dit que vous avez une nouvelle Corinne pour cuisinière, je vous en fais mon compliment. Nièce de Caron. Nohant, 27 décembre 1828.
Tout y va bien, même le cher Bou-Maza, dont vous nous avez fait porter le deuil je ne sais pas pourquoi. Il y a bien longtemps que je veux vous écrire; mais j'ai tant de monde en septembre et en octobre, qu'il n'y a pas moyen de causer avec les absents. La maison ne peut pas désemplir. Mais, en novembre, tout file et on reprend les occupations raisonnables. Nohant, 7 novembre 1861. Mon cher fils,
C'est dans ces sentiments respectueux et profonds qu'au nom de la famille Luguet et au mien. J'ai l'honneur d'être, madame, de Votre Majesté la très humble et très reconnaissante servante. Nohant, 29 novembre 1857. Cher ami,
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