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Le 17 septembre 1672, la troupe du roi représentait les Femmes savantes de Molière, qui furent, dit la Gazette, «admirées d'un chacunDu 8 février au 19 avril 1674, Bourdalouc prêchait le carême

Cette lettre, publiée par Taschereau dans la troisième édition de son Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, Paris, Hetzel, 1844, in-18, lui avait été communiquée en original par Villenave. Voir pour les difficultés que rencontra la représentation du Tartufe, p. 94

Sous la pression des idées religieuses, et même dévotes, toute la comédie qui sort de Molière est sceptique; sous la pression des idées monarchiques, toute la tragédie qui sort de Corneille est républicaine. Tous deux, Corneille et Molière, sont déclarés, de leur vivant, immoraux, l'un par l'académie, l'autre par le parlement. Et voyez comme le jour se fait, voyez comme la lumière vient!

Le nombre des âmes est-il fini ou infini? Et le nombre des terres habitables? Etc., etc. Les nations n'ont de grands hommes que malgré elles. Donc le grand homme est vainqueur de toute sa nation. Les religions modernes ridicules Molière. Béranger. Garibaldi. La croyance au progrès est une doctrine de paresseux, une doctrine de Belges.

Le Roi se plaisoit tellement aux divertissements fréquents que la Troupe de Molière lui donnoit, qu'au mois d'Août 1665, Sa Majesté jugea

Molière logeait chez un médecin, dont la femme, extrêmement avare, voulait augmenter le loyer de la portion de maison qu'il occupait; sur le refus qu'il en fit, l'appartement fut loué

produire un mauvais effet. Dès que le spectateur a le temps de s'apercevoir que le ridicule est outré, il ne rit plus, et partant la farce est mauvaise. Il faut étourdir le spectateur comme Molière ou Cimarosa; c'est l

Molière, qui aimoit les bonnes moeurs, n'eut pas moins d'attention

Et Grimarest raconte que, lorsque le roi lui demanda un divertissement et qu'il donna Psyché en janvier 1672, Molière laissa croire que ce qui était de lui dans cette pièce ne fut fait qu'

Toute la fin de cette épître est écrite avec la vigueur du style cornélien, avec la limpidité du style racinien, avec la propriété acérée du style de Molière. Boileau entremêle si habilement et si indissolublement les louanges du roi aux mépris contre les mauvais écrivains que l'enthousiasme emporte avec lui l'épigramme, et qu'il est impossible de supprimer une invective contre les poëtes de cour sans supprimer dans le même vers une magnifique apothéose du roi. Ce début, qui caressa délicieusement les oreilles de Louis XIV, valut du premier coup