United States or France ? Vote for the TOP Country of the Week !


Moi savant!.... pas le moins du monde. Mais un écolier, élevé dans votre Koom-Posh, demanderait-il

J'ai mangé, et ce n'est pas votre affaire; taisez-vous! Oh! sans doute, et d'ailleurs cela n'a pas d'importance. Je me trompe, cela en a pour moi en ce moment: figurez-vous que j'ai

C'est vrai que nous sommes en hiver; c'est une rude saison. Pour moi, je suis toujours en hiver et je ne verrai plus de printemps. Cela vaut autant, après tout, car j'ai fait mon tour, répondit le professeur... Heureux ceux qui passent leur vie dans la pratique du bien! reprit le ministre.

A moi le brick et les esclaves m'écriai-je en sautant sur le pont. L'équipage espagnol s'ébranle: le mien court

Non, non! j'attends la messe, j'ai promis de communier ici... Ne vous inquiétez pas de moi, rentrez vite

Moi courir chez Bonbeck, moi demander Mam'selle; si Bonbeck pas vouloir donner, moi tout casser, ouvrir portes, arracher Mam'selle et amener ici. PRUDENCE. C'est impossible, mon pauvre Coz; Mme Bonbeck porterait plainte contre vous, et comme Polonais, vous seriez condamné et puis chassé hors de France. COZ. Moi pas vouloir quitter France; moi rester chez papa de Mam'selle et M. Nocent.

Ah! monsieur, dit d'Artagnan en souriant agréablement, on voit bien que, quoique nous ayons eu l'honneur de voyager, M. du Vallon et moi, en votre compagnie, vous ne nous connaissez pas. Nous sommes gentilshommes, nous sommes capables,

Hélas! pour moi, un accident me retint au lit dès le début de ces passionnantes études. Tous les soirs, cependant, de cinq

«Hélas! lui dit enfin le mystérieux heiduque, votre seigneurie ne daigne donc pas me reconnaître? Moi, je l'aurais toujours reconnue, fut-elle déguisée en Turc ou en caporal prussien; et pourtant je ne l'avais vue qu'un instant, mais quel instant dans ma vie

Je crois comprendre l'ironie qui se cache sous vos paroles. Le grand publiciste français me jugerait-il donc comme la foule qui ne connaît de moi que mon nom et un aveugle préjugé? Ce livre m'a fait une renommée fatale, je le sais: il m'a rendu responsable de toutes les tyrannies; il m'a attiré la malédiction des peuples qui ont personnifié en moi leur haine pour le despotisme; il a empoisonné mes derniers jours, et la réprobation de la postérité semble m'avoir suivi jusqu'ici. Qu'ai-je fait pourtant? Pendant quinze ans j'ai servi ma patrie qui était une République; j'ai conspiré pour son indépendance, et je l'ai défendue sans relâche contre Louis XII, contre les Espagnols, contre Jules II, contre Borgia lui-même qui, sans moi, l'eût étouffée. Je l'ai protégée contre les intrigues sanglantes qui se croisaient dans tous les sens autour d'elle, combattant par la diplomatie comme un autre eût combattu par l'épée; traitant, négociant, nouant ou rompant les fils suivant les intérêts de la République, qui se trouvait alors écrasée entre les grandes puissances, et que la guerre ballottait comme un esquif. Et ce n'était pas un gouvernement oppresseur ou autocratique que nous soutenions