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«Madame Péchin veut être immortelle. Tous mes malades veulent être immortels. Vous, M. Mazure, et vous-même, M. Bergeret, vous voulez être immortels. Maintenant je vous avouerai que l'instabilité est le caractère essentiel des combinaisons qui produisent la vie. La vie, voulez-vous que je vous la définisse scientifiquement? C'est de l'inconnu qui f... le camp.

Quatorze! s'écria M. Mazure. Quatorze, reprit M. de Terremondre. Je le crois, répondit M. Bergeret. Quatorze officiers français! s'écria M. de Terremondre. Oh! dit M. Bergeret, ils auraient été suisses, belges, espagnols, allemands ou néerlandais, qu'ils auraient pu se tromper tout autant. Ce n'est pas possible, s'écria M. de Terremondre.

Moi, dit M. Mazure, je suis un vieux jacobin, je maintiens les conseils de guerre et je place les généraux sous l'autorité d'un comité de salut public. Il n'y a rien de tel pour les décider

Vous avez raison, dit M. Mazure. Mais ne soyons pas injustes envers notre temps. La Révolution, qui a su accomplir la réforme judiciaire, a beaucoup amélioré le sort des prisonniers. Les cachots de l'ancien régime étaient, pour la plupart, infects et noirs.

Qu'est-ce que vous voulez?... répliqua M. Mazure, je suis patriote et républicain. Puisque vous êtes républicain, dit M. Bergeret, vous devez vous sentir étranger et solitaire parmi vos concitoyens. Il n'y a plus beaucoup de républicains en France. La République n'en a pas formés. C'est le gouvernement absolu qui forme les républicains.

Durant les vacances, M. Mazure, archiviste départemental, vint passer quelques jours

Ce que je reproche surtout aux dreyfusards, ajouta M. Mazure, c'est d'avoir affaibli, énervé la défense nationale et diminué notre prestige au dehors.

Je viens de voir mon collègue Lehaleur, dit Mazure. La fièvre qu'il a prise

M. Mazure était dans un grand trouble

[Note 308: «Noviter adinventasContin. G. de Nangis, III. M. Mazure, bibliothécaire de Poitiers, a publié un cantique fort remarquable que les frères de la Croix avaient coutume de chanter dans leurs cérémonies: Or avant, entre nous tous frères Battons nos charognes bien fort En remembrant la grant misère De Dieu et de sa piteuse mort, Qui fut pris en la gent amère Et vendus et traïs