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M. Rossi comprit et exécuta mes instructions avec sa précision et son tact accoutumés. Il m'écrivit le 26 juillet 1845: «Conformément aux ordres de Votre Excellence, j'ai sur-le-champ transmis copie de sa dépêche du 6 juillet

L'empereur Napoléon gardait Braunau comme gage des bouches de Cattaro, et le gouvernement autrichien se trouvait ainsi toujours victime de la mauvaise foi qu'avait montrée son commissaire en remettant les bouches aux Russes. Afin de terminer cette affaire, les deux gouvernements projetèrent une opération combinée de Français et d'Autrichiens pour prendre Cattaro; on devait réunir des moyens communs et égaux pour faire le siége de Castelnovo et de Cattaro. M. le comte de Bellegarde m'écrivit par le major d'Albeck, pour me faire les propositions relatives

On m'écrivit de Paris qu'on s'étonnait que, dans tout le bruit que faisait cette affaire et après la part que j'y avais prise, mon nom n'eût pas été une fois prononcé, ni dans les Chambres ni ailleurs. Je répondis: «J'ai été peu surpris de ne pas voir mon nom dans le discours de M. de Rémusat, et j'ai trouvé cela convenable; il ne devait y avoir dans ce discours, comme il n'y a en effet, que quatre noms: le roi, Napoléon, la France et l'Angleterre. Ce que je remarque sans surprise, c'est l'art avec lequel les journaux ministériels, ou de la gauche, ont évité de parler de moi

Mais il les vit, s'en affecta et m'écrivit le lendemain la lettre suivante: «Ma pauvre Marguerite est malade, malade d'esprit surtout. Je l'ai confessée, je sais qu'elle a dit des choses insensées

Elle ne se fit pas attendre; M. Thiers m'écrivit le 24 septembre: «A la fausse assertion que la France, loin d'amener les concessions du vice-roi, les a au contraire empêchées d'être pleines et entières, donnez en mon nom, et au nom du gouvernement français, le démenti le plus solennel. Je ferai donner aujourd'hui ce démenti par un journal officiel . Voici la rigoureuse vérité. Le vice-roi, en pourparlers avec Rifaat-Bey, avait commencé

L'Empereur porta sa pensée sur Rio-Marine; il m'écrivit directement pour savoir «s'il ne serait pas possible de parer aux dangers de la rade riaise en faisant faire un port par une compagnie qui ensuite prélèverait un droit sur tous les bâtiments qui viendraient y mouiller». (J'appelle lettres directes de l'Empereur celles que l'Empereur dictait

Horace, pénétré de repentir et de reconnaissance, pressa fortement la main de Louis, refusa obstinément le portefeuille qu'il lui présentait, le remercia de ses bons conseils avec une grande douceur, lui promit de les suivre, et quitta précipitamment sa maison. Louis de Méran m'écrivit aussitôt, pour me mettre au courant de toutes ces choses, et pour m'engager

On avait parié, parmi les artistes de la cour, que mon engagement ne recevrait pas la sanction de celui qui nommait alors les rois et les comédiens, et qui se faisait quelquefois un plaisir, pour que l'on sentît que toute force et tout pouvoir venait de lui, de raturer et de biffer des nominations auxquelles il était loin d'ailleurs d'attacher une autre importance. J'avoue que ma vanité ne sut guère tenir au plaisir d'humilier la malveillance que j'avais cru remarquer dans cette occasion; et quand la signature impériale arrive (et elle ne se fit pas attendre), j'eus grand soin de lire publiquement la lettre que Regnaud de Saint-Jean-d'Angely m'écrivit alors pour me l'annoncer. «D'abord, ma chère amie, me disait-il, l'Empereur se souvient de vous; il a signé avec bien du plaisir quelque chose pour la Fama volat de Milan: ce sont ses expressionsLa lettre de Regnaud se ressentait même de la bienveillance de l'Empereur; les termes en étaient intimes, comme ceux d'une ancienne amitié, qui non seulement ne craint plus de se compromettre, mais qui encore est certaine de faire par l

J'ai su depuis que ma femme m'avait fait connaître, en termes discrets, dans les lettres qu'elle m'écrivit en août ou septembre 1897, qu'une haute personnalité du Sénat avait pris ma cause en main; le passage, bien entendu, fut supprimé et je n'appris l'admirable initiative de M. Scheurer-Kestner qu'

Le général Dupont, après ce désastre, était bien obligé de m'en rendre compte; il m'écrivit une lettre fort courte, contenant la capitulation qu'il avait ratifiée, et chargea M. de Villoutray de m'apporter cela