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Jeune, gente, nompareille Princesse, Puisque ne puis veoir vostre jeunesse, De m'escrire ne vous vueilliez lasser; Car vous faictes, je le vous certiffie, Grant aumosne dont je vous remercie, Quant il vous plaist d'ainsi me conforter.

Convaincue, qu'une fois de plus, l'affection fraternelle lui viendrait en aide, dans cette circonstance, elle écrivit au prince dauphin : «... Par le moïen de ce gentilhomme, présent porteur, que monsieur le prince, vostre frère, et moy envoïons vers monsieur nostre père, je vous supplie très humblement de croire que je ne sçaurois recevoir plus de faveur et contentement, que de sçavoir souvent des nouvelles de vostre santé, aïant été extrêmement peinée de savoir celle de madame ma soeur en si mauvais estat, et vous asseure que, s'il y avoit chose, en ce monde, en mon pouvoir, qui peust avancer sa guérison, je l'en voudrois servir. Vous me ferez donc cest honneur de m'escrire comme elle se trouve

4 juillet 1679. «J'ay reçeu les deux lettres que vous avez pris la peine de m'escrire le 19 et 26 du mois passé. Je vous avoue que j'ai esté surpris de voir la prodigieuse quantité de marchandises que la Compagnie des Indes orientales de Hollande a fait venir cette année. Je ne fais aucun doute que ce ne soit un des premiers effects de la jalousie qu'ils ont de l'establissement de nostre Compagnie, voulant hazarder de donner toutes les marchandises

Bibl. nat., mss. f. fr., vol. 3.182, 47. Le 13 avril, Guillaume s'adressait au prince dauphin en ces termes : «Monsieur, aiant entendu, tant par les lettres qu'il vous a pleu m'escrire, comme parce que m'en a dit M. de Sainte-Aldegonde, la bonne affection qu'il vous plaist de me porter, j'en ai esté très aise et ne vous en puis assez humblement remercier, singulièrement pour les faveurs et bons offices que je sçay qu'il vous a pleu faire

»Monsieur, j'ay reçeu la lettre qu'il vous a pleu m'escrire et entendu de ce gentilhomme, présent porteur, l'affaire dont luy avés donné charge de me parler, quy est telle que je n'y puis faire réponce que par le conseil et commandement de monsieur l'

«Monsieur, je vous ay escript depuis quinze jours, par un nommé le capitaine Avalon, par lequel je vous faisois entendre le contentement que j'avois reçu de la dernière lettre que m'aviés faict cest honneur de m'escrire, qui m'a esté rendue il n'y a point longtemps, vous asseurant, monsieur, que celuy qui se passe sans que j'aye cest heur et bien de sçavoir de vos nouvelles, m'est fort ennuieux, pour n'avoir point plus grant plaisir que quand je puis estre certaine de la bonne santé de vous, de madame ma soeur et de monsieur mon nepveu, dépeschant ce porteur exprès pour vous aller trouver l