United States or Tunisia ? Vote for the TOP Country of the Week !


Hélas! depuis quelques jours ma passion ne m'effrayait plus; pour sauver Frédéric je me sentais le courage d'en guérir. Déj

Mais les médecins, que pensent-ils? Les médecins? ajouta-t-il avec ce sourire convulsif et cet air égaré qui m'effrayait, les médecins... n'ont pas dit comme ma mère: C'est une comédie! Eux... ils ont dit... C'est une femme morte... Alors j'ai crié

Cette assurance railleuse et effrontée m'effrayait et me rendait muette. Le sous préfet, non moins stupéfait que moi, me regard, et s'écria sottement: C'est étonnant... c'est

Nous nous hâtâmes de revenir au logis, et nous fîmes toutes nos dispositions pour la défense. Les fusils furent chargés, la poudre et le plomb versés dans les poudrières. Plus le terrible animal avançait, plus je me confirmais dans l'idée que c'était un boa. Ce que j'avais entendu raconter de la force de ces animaux m'effrayait extrêmement, et je ne savais quel moyen mettre en usage pour l'empêcher de parvenir jusqu'

Dans cette vie des marins, dans leur métier qui m'effrayait et qui m'était défendu, que de choses devaient être charmantes! Je ne l'avais jamais si bien senti que ce soir.

Vous me croirez si vous voulez, mes chers amis, continua Pierre après avoir fait circuler le punch autour de la table: la perspective de ce mariage ne m'effrayait pas du tout. Parbleu! une si jolie femme! fit-on de loin.

Celle-ci, s'étant aperçue de cette muette interrogation, reprit: Je vais être plus claire, prince; en un mot, vous comprenez que, me trouvant la plus proche parente de cette chère et mauvaise petite tête... elle désigna Adrienne du regard, j'étais plus ou moins responsable de son avenir aux yeux de tous... et voici, prince, que vous arrivez justement de l'autre monde pour vous charger candidement de cet avenir qui m'effrayait si fort... C'est charmant, c'est excellent; aussi, en vérité, l'on se demande ce qu'il y a de plus

Son état m'effrayait. Je parlai

Je passai les jours suivants plus tranquille. J'avais rejeté dans le vague la nécessité d'agir; elle ne me poursuivait plus comme un spectre; je croyais avoir tout le temps de préparer Ellénore. Je voulais être plus doux, plus tendre avec elle, pour conserver au moins des souvenirs d'amitié. Mon trouble était tout différent de celui que j'avais connu jusqu'alors. J'avais imploré le ciel pour qu'il élevât soudain entre Ellénore et moi un obstacle que je ne pusse franchir. Cet obstacle s'était élevé. Je fixais mes regards sur Ellénore comme sur un être que j'allais perdre. L'exigence, qui m'avait paru tant de fois insupportable, ne m'effrayait plus; je m'en sentais affranchi d'avance. J'étais plus libre en lui cédant encore, et je n'éprouvais plus cette révolte intérieure qui jadis me portait sans cesse

Assurément, la certitude que Rose allait mourir ne m'effrayait plus, et je pouvais causer tranquillement avec elle, pendant des journées entières, de son départ pour une autre patrie; mais il arrivait cependant que la vue de sa pâleur cadavérique et sa toux douloureuse me faisaient frissonner malgré moi, et éveillaient en moi un sentiment de pénible compassion. Elle lisait au fond de mon cœur. Dès qu'une vague pensée d'angoisse ou de tristesse se glissait dans mon esprit, elle fixait ses yeux sur les miens avec une expression de doux reproche, et me rappelait au mépris de la mort corporelle, et