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«À peine avions-nous eu le temps, mon père de m'exprimer sa joie et sa surprise de me voir, moi de lui dire en peu de mots ce que j'avais fait, que Coulommier accourut tout pâle et hors de lui. Sans proférer un seul mot, il me saisit par le bras, ouvre une porte, me jette dans une sorte de cachot, m'y enferme et me laisse dans la plus profonde obscurité. Tout ceci s'était passé si rapidement que je n'avais pas eu le temps de me reconnaître. Je m'appuyai machinalement contre la porte de ma prison, j'entendis un bruit de pas et de voix confuses, puis il s'apaisa. On parut parlementer quelque temps; le ton solennel de paroles entrecoupées de silence m'apprit qu'il se passait quelque chose d'officiel, mais je ne pouvais distinguer ce qui se disait. Bientôt le bruit des pas recommença, les portes s'ouvrirent et se fermèrent, puis tout rentra dans le silence. Je crus alors qu'on allait venir me délivrer, mais j'attendis en vain, je n'entendis rien que les battements précipités de mon coeur. La peur commença

Il voulut de nouveau partir; mais je m'appuyai le dos contre la porte. «Laissez-moi parler, dis-je; donnez-moi le temps de respirerJe m'arrêtai; il se tenait debout devant moi, le chapeau

Je dus pâlir. Je me souviens que je m'appuyai fortement au bras de Gaston de Thorvilliers. Elle était grande, mince, mais admirablement faite, avec des cheveux noirs, en bandeaux légèrement renflés, au-dessus d'un front correct, blanc, uni, qui rayonnait d'innocence simple, fière, hardie.

Sur le palier du grand escalier de pierre, une sorte d'accablement subit me prit, une sensation d'écrasement, d'annihilation, de dégoût. Je m'appuyai sur le rebord d'une des vastes croisées qui donnaient sur la Seine, et, vaguement, mes regards s'attardèrent

Nous nous acheminâmes vers le village; nous entrâmes dans la même maison. Les deux femmes y étaient encore, l'une filant, l'autre tricotant. Sur une table étaient un encrier et des plumes. Je m'appuyai contre cette table, et je glissai une plume dans ma poche. Pendant ce temps, Cantarello parlait

Je reprends mon récit interrompu; j'avais besoin de force et de courage pour le continuer. J'ai encore devant mes yeux la plus triste des images, telle qu'elle me frappa en rentrant dans cette chambre d'où avait disparu l'âme la plus tendre et la plus sublime. Je reculai d'horreur en voyant ce jeune et superbe Gustave couché dans le cercueil; je m'appuyai contre la porte; il me semblait que je faisais un rêve dont je ne pouvais sortir. Je m'avançai pour le considérer encore, et soulevai le mouchoir qui couvrait ses traits; la mort y avait déj

Mon cœur se dilatait avec force. J'aspirais avec une ineffable avidité tous les parfums, toutes les suaves émanations de la nature. Je m'appuyai davantage sur le bras du Gontran... nous marchions lentement... A peine nous échangions de temps

Je m'appuyai

Ce fut par une délicieuse matinée d'avril que j'allai au-devant du Comte d'Artois, au vieux refrain du bon Henri qui marquait la marche en désordre, tirant la jambe, mais enchanté. Je m'appuyai sur le cheval du prince et je lui débitai un compliment très court avec une conviction bien jouée. Il était si ému qu'il étouffait: «Monsieur, Messieurs, je vous remercie, je suis trop heureux; marchons, marchons, je suis trop heureuxDe la Barrière de Bondy

A la fin, comme j'étais bien fatiguée, je m'appuyai sur le bras de petite mère, et ne vis plus qu'