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Quoi! rien? dit le jeune homme avec douleur. Mais qu'y a-t-il donc de si grave, que ni vous ni moi ne puissions y remédier?... Il fit un geste de désespoir. Ah! le vrai, le seul motif, c'est que vous ne m'aimez pas! Si votre coeur m'appartenait, vous n'auriez pas tant consulté votre raison. J'ai pour vous une affection profonde, et qui sera inaltérable, dit Antoinette.

Ah! malheureuse enfant! dit-il, est-ce donc ainsi que nous devions nous revoir? Mon père! mon bon père! supplia Edmée, vous m'aimez toujours! Ah! dites-moi que vous m'aimez! Eh! est-il possible qu'il en soit autrement. Mon Dieu! Tu as été bien cruelle, cependant, et je ne croyais pas que jamais j'aurais

Comte, j'ai votre parole, répondit froidement Morrel; et, ajouta-t-il en tirant sa montre, il est onze heures et demie. Morrel! y songez-vous, sous mes yeux, dans ma maison? Alors laissez-moi partir, dit Maximilien devenu sombre, ou je croirai que vous ne m'aimez pas pour moi, mais pour vousEt il se leva.

Dame, je vous ai tant priée de vouloir m'aimer, s'il vous plaît; je suis votre vassal, vous êtes noble et sage et la source de toutes qualités; aussi désiré-je votre amitié; comme vous êtes courtoise en tout, mon coeur s'est épris de vous plus que de toute autre Génoise; je serai bien récompensé si vous m'aimez et je serai plus payé de mes peines que si Gênes m'appartenait avec tout l'argent qui y est amassé .

Rouletabille a posé sa main sur mon épaule... Il m'a regardé jusqu'au fond des yeux, jusqu'au fond de mon coeur, et il m'a dit: «Vous allez tout savoir, Sainclair, vous allez en savoir autant que moi, et vous allez être aussi effrayé que moi, mon ami, parce que vous êtes bon, et que je sais que vous m'aimez

Cela vous déplaît, Rosa, ma douce Rosa, cela vous déplaît que j'aime les fleurs. Cela ne me déplaît pas que vous les aimiez, M. Cornélius; seulement cela m'attriste que vous les aimiez plus que vous ne m'aimez moi-même.

Vous ne m'aimez pas un peu, vous qui n'avez jamais rien

«Ami, disait Gabrielle, je sais que vous voulez partir, je sais qu'on en parle pour demain, et M. de Crillon l'a dit devant moi avec une sorte de conviction qui m'épouvante. Ce n'est pas que j'y croie, mais tout m'alarme. Non, je ne croirai jamais que vous partiez sans m'avoir parlé une dernière fois. Cependant, vous êtes assez généreux pour avoir ce triste courage. Vous m'aimez assez pour vous sacrifier ainsi. J'en tremble en écrivant. Ne faites pas cela, au nom du ciel, car vous me réduiriez

Que vous importe aujourd'hui, puisque, pour cette faute, vous ne m'aimez plus? puisque vous me méprisez au point de vouloir m'ôter le mérite de la confiance et du repentir? On ne se repent pas quand on se confesse avec tant d'audace.

Très noblement, il dit: Marie, vous ne m'aimez pas, je vous rends votre parole. Mais elle refusa, avec une noblesse égale. Jamais je ne vous la reprendrai, car je vous l'ai donnée en toute conscience, en toute joie, et je n'ai pas cessé d'avoir pour vous la même tendresse et la même admiration.