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Ce retour sur lui-même était le résultat des observations de ses ministres, et plus particulièrement de M. Carnot. «Sire, lui répétait-il sans cesse, ne luttez point, je vous en conjure, contre l'opinion. Votre acte additionnel a déplu

Mais vous luttez, dites-vous, depuis treize ans. Eh bien, il est probable que vous n'avez pas la spécialité du théâtre. Cherchez-en une autre, on en a toujours une quand on veut s'interroger soi-même avec courage et modestie. Courage donc, monsieur; je ne suis pas vindicative; je vous pardonne vos compliments. Nohant, 28 décembre 1863. Cher enfant,

Je vous félicite, vous, compatriote d'Eschyle et de Périclès, qui luttez pour les principes de l'humanité. Il est beau d'être du pays de la lumière et d'y porter le drapeau de la liberté. Je vous serre cordialement la main. Guernesey, 25 août 1856. L'amnistie ici et la potence l

Maintenant que vous êtes vaincu, vous sentez votre coeur comme si on le baignait dans les saintes huiles? Oui, Foma, on le dirait baigné dans l'huile. Dans l'huile?... Hem! Je ne vous ai pas parlé d'huile... Mais n'importe. Vous saurez désormais, colonel, ce que c'est que le devoir accompli! Luttez contre vous-même! Vous avez trop d'amour- propre. Votre orgueil est excessif.

Maîtrisez vos passions! poursuivit Foma avec la même pompe, comme si mon oncle n'eût rien dit. Luttez contre vous-même: «Si tu veux vaincre le monde, commence par te vaincre toi-mêmeTel est mon principe. Propriétaire foncier, vous devez briller comme un diamant sur vos domaines; et quel abominable exemple ne donnez- vous pas

CXXIX. «Allons, répondit Adonis; vous allez retomber dans vos vains discours tant de fois rebattus? Le baiser que je vous ai donné vous a été accordé en vain: c'est en vain que vous luttez contre un torrent; car je vous proteste, par cette ténébreuse nuit, sombre nourrice du désir, que je vous aime de moins en moins depuis votre dissertation.

Vous lui donnez vos jours, vos nuits, vos fatigues, vos insomnies, vos courages; vous lui donnez vos bras, vos coeurs, les pleurs de vos femmes qui tremblent pendant que vous luttez, l'adieu des enfants, des fiancées, des vieux parents, les fumées de vos hameaux envolées dans le vent; la mer, c'est le grand danger, c'est le grand labeur, c'est la grande urgence; vous lui donnez tout; vous acceptez d'elle cette poignante angoisse, l'effacement des côtes; chaque fois qu'on part, question lugubre, reverra-t-on ceux qu'on aime? La rive s'en va comme un décor de théâtre qu'une main emporte. Perdre terre, quel mot saisissant! on est comme hors des vivants. Et vous vous dévouez, hommes intrépides. Je vois parmi vos signatures les noms de ceux qui, dernièrement,

Ne vous inquiétez pas de cela, Laure; je vais d'abord lui demander son approbation, et je suis certain qu'il ne me la refusera pas si je puis lui annoncer que vous et Clémence avez donné votre consentement. Voyons, rasseyez-vous... Vous pleurez, Laure? Non, ne luttez pas inutilement contre une inexorable fatalité.

Et d'autres mots passèrent dans sa mémoire comme une marée: «Nous sommes dans l'épreuve. La cloche qui chante a été dans le feu. Vous luttez pour gagner votre vie, et cela est un devoir bien beau; on va dès le matin

Marchez donc, et, je vous le répète, ayez confiance! Les choses pour lesquelles et avec lesquelles vous luttez sont de celles que la violence même du combat fait resplendir. Quand on frappe sur un homme, on en fait jaillir du sang; quand on frappe sur la vérité, on en fait jaillir de la lumière. Vous dites que le peuple aime mon nom, et vous me demandez ce que vous voulez bien appeler mon appui.