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N'est-ce pas? Car enfin je ne me refuse rien; j'ai même un loyer au-dessus de mon état; j'ai des oiseaux; l'été, toujours au moins deux pots de fleurs sur ma cheminée, sans compter les caisses de ma fenêtre et celle de ma cage; et, pourtant, comme je vous le disais, j'avais déj

Ce furent d'abord deux mois de terrible gêne. Ne pouvant plus payer la pension de Pépé, elle l'avait repris et le couchait sur une vieille bergère prêtée par Bourras. Il lui fallait strictement trente sous chaque jour, le loyer compris, en consentant

A Chevalier, pour le loyer de sa maison, pendant le quartier de janvier 1685 125 » » A la dame Duchannoy, 36 l., pour le loyer de son pressoir, occupé par les chevaux du sieur de Ville,

Oui, monsieur, oui. Et comme depuis trois mois que vous êtes chez moi, et que distrait sans doute par vos grandes occupations vous avez oublié de me payer mon loyer; comme, dis-je, je ne vous ai pas tourmenté un seul instant, j'ai pensé que vous auriez égard

S'il y a des locataires malheureux, il y a des propriétaires dont la situation est très pénible. Il est du devoir des locataires, qui font des affaires, de payer leur loyer. Les locataires qui invoquent le moratorium ne devraient pas y prendre seulement ce qui leur convient, mais respecter l'intention du législateur qui ne dispense du paiement de leur loyer que ceux qui ne peuvent pas payer.

De l'épargne sordide Cette espèce d'avarice est dans les hommes une passion de vouloir ménager les plus petites choses sans aucune fin honnête. C'est dans cet esprit que quelques-uns, recevant tous les mois le loyer de leur maison, ne négligent pas d'aller eux-mêmes demander la moitié d'une obole qui manquait au dernier payement qu'on leur a fait; que d'autres, faisant l'effort de donner

En descendant, ils retrouvaient dans le couloir le petit homme malingreux dont plus tristement il sentait s'appuyer le regard. Et il lui réglait le loyer de la couchée, en mettant cette fois toute sa volonté

La mère Marchais était une pauvre veuve qui avait perdu tous ses enfants. La plus jeune de ses filles, veuve aussi, lui avait laissé en mourant un petit garçon qu'elle élevait de son mieux. Comme elle était au pain de charité, et que le peu d'argent qu'elle gagnait en filant n'eût pas suffi pour nourrir son petit Toine, elle aurait été obligée de l'envoyer mendier, en attendant qu'il fût en âge de servir dans quelque ferme, si des personnes charitables n'eussent habillé l'enfant et payé le loyer de la grand'mère. Au lieu de laisser vagabonder le petit Toine, la bonne vieille l'envoya

Oui, oui, on nous donne du charbon, pas trop fameux, mais qui brûle pourtant... Quant au loyer, il n'est que de six francs par mois: ça n'a l'air de rien, et souvent c'est joliment dur