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Son émotion n'était pas moindre que celle des gens qui l'entouraient et un petit tic nerveux ne cessait de lui soulever, assez drolatiquement, l'arcade sourcilière. Il regardait la place Martin Latouche allait prononcer son discours.

Cet engourdissement de mon cerveau, cette pesanteur de ma réflexion, ce besoin de développer toute ma pensée pour m'en rendre compte, M. de Latouche fit généreusement et courageusement tout son possible pour les vaincre. Ni lui ni moi ne pûmes en venir

Et maintenant, il tremblait sur la place Dauphine, devant la porte de Martin Latouche dont il avait soulevé le marteau. Le marteau avait frappé, mais la porte ne s'était pas ouverte... Et il sembla bien

25 mai 1896. Une lettre de M. Auguste Lacaussade m'assure que, bien décidément, le séducteur de Marceline fut Henri de Latouche. (M. Lacaussade n'en donne, d'ailleurs, aucune preuve sérieuse.) Mais, il y a huit jours, une lettre signée pareillement Lacaussade m'avait apporté déj

Vous avez vu depuis, un grand article intitulé Vision. M. de Latouche l'a trouvé très remarquable et m'a priée en quelque sorte de le lui donner. Il est de J.S..., qui me l'avait confié et qui n'a pas été très content de le voir mutilé et raccourci. Il le destinait au Voleur, et, moi, je l'ai volé, au profit du Figaro. Dans le même numéro, une bigarrure (la première) fait grand scandale. Elle n'a rien de joli; mais, comme elle tombe d'aplomb sur le ridicule de la circonstance, les rieurs s'en sont emparés, le roi citoyen s'en est offensé, et M. Nestor Roqueplan, le signataire du journal, au moment de recevoir la croix (dont Sa Majesté n'est pas chiche d'ailleurs), se l'est vu refuser

Je me vante un peu pourtant. Nous n'avons pas précisément la liberté au Figaro. M. de Latouche, notre digne patron (ah! si vous connaissiez cet homme-l

[423: Les portraits surtout causaient de l'émoi aux agents. Cet émoi datait de loin. Un-rédacteur de l'Indépendant, M. Latouche, avait rendu compte, en 1822, de l'exposition des tableaux au Salon du Louvre et avait parlé avec éloges d'un joli portrait représentant un enfant qui tenait

L'Anthologie des poètes du XIXe siècle s'ouvre sur un poète du XVIIIe, André Chénier. M. André Lemoyne, dans la première des notices qui précèdent les morceaux choisis, s'est chargé de donner les raisons pour lesquelles le fils de la Grecque est représenté en tête d'un recueil réservé aux ouvrages d'un âge qu'il n'a point vu. La première raison est d'ordre chronologique. Les oeuvres d'André Chénier, dit M. André Lemoyne, sont posthumes et furent publiées dans notre siècle. En effet, Latouche en donna l'édition originale en 1819. Cette raison peut paraître suffisante. On se demandera seulement si, d'après le même principe, certaines poésies de Parny, de Ducis, de l'abbé Delille, du chevalier de Boufflers, etc., publiées postérieurement

Les deux hommes étaient en effet sous la grande porte... Martin Latouche tira bruyamment de lourds barreaux de fer, fit tourner une clef énorme, et, tirant la porte

«Vous avez été vous-même un peu dur et un peu ironique pour cette pauvre Marceline, mais... l'on ne saurait trop vous en vouloir, car vous avez dit ses vérités au Latouche sans le connaître