United States or Ecuador ? Vote for the TOP Country of the Week !


L'enthousiasme pour la pièce nouvelle avait été si grand que Larive, et ceci est un fait peu connu, demanda le rôle de Grippe-Soleil. L'affluence de la province était telle que l'on eût pu mettre sur les affiches le fameux mot de Champfort, «Rien ne réussit

Mes visites avant mes débuts sous l'égide de Mlle Raucourt, visites chez les ministres, la famille de Napoléon, etc. Mes débuts. La Comédie-Française. Visites chez la Dumesnil, Clairon. Mes impressions sur Talma, Monvel; Mmes Contat, Mars, Devienne, les dernières soirées de Larive. Le Consulat. Talleyrand. Lucien. La mère du Premier Consul. Sa soeur Bacciochi. Joséphine. La reine Hortense.

Larive, qui pour son malheur succédait

Lorsque je suis rentrée en France, j'ai été charmée de revoir Larive que j'ai rencontré souvent

Larive avait très bon ton et causait avec esprit, même de choses qui n'avaient point rapport

Il était dans une ville du Languedoc, il jouait les rôles de Molé et de Larive, assez médiocrement, dit-on; il rêvait déj

Allons, allons, dit-elle, tout va bien, voici les cinq cents livres du monsieur aux mille exemplaires. Recevons-les noblement, dit Réteau en parodiant Larive dans sa plus récente création.

Le Kain. Brizard. Mademoiselle Dumesnil. Monvel. Mademoiselle Raucour. Mademoiselle Sainval. Madame Vestris. Larive. Mademoiselle Clairon. Talma. Préville. Dugazon. Mademoiselle Doligny. Mademoiselle Contat. Molé. Fleury. Mademoiselle Mars. Mademoiselle Arnoult. Madame Saint-Huberti. Les deux Vestris. Mademoiselle Pélin. Mademoiselle Allard. Mademoiselle Guimard. Carlin. Cailleau. Laruette.

M. de Larive, depuis deux ou trois ans, avait cessé de faire partie de la société des comédiens français, mais il ne s'était pas pour cela retiré du théâtre. En conséquence d'un arrangement particulier, il jouait dans le cours de l'année un certain nombre de représentations

Dugazon aimait surtout singulièrement les oiseaux; sa maison était devenue bien vite une volière. Il les avait tous baptisés de noms amis et ennemis: cette fauvette était Contat, ce serin Préville, ce perroquet déplumé Geoffroy, son zoïle, sa bête noire! Les traits de ce critique poursuivirent, on le sait, Molé jusqu'au tombeau, ils accélérèrent la retraite de Larive, ils eurent la prétention plus grande d'arrêter l'essor de Talma. Dugazon fut toute sa vie le point de mire des épigrammes de cet abbé, rustre et crasseux comme un pédant de collége. Il fallut la mort de cet acteur admirable pour que le journal de Geoffroy en fît l'éloge, et chose au moins étrange! cet éloge fut pompeux. Le feuilleton du critique tonsuré était