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Sans les sinistres pressentiments que me cause la menace de l'arrivée de M. de Lancry, je me trouverais presque heureuse d'avoir eu la force d'achever ces pages. Ce long coup d'œil sur le passé m'a calmée, m'a donné, sinon de l'orgueil, du moins de la confiance dans mon caractère et dans mon énergie.

Celle de mes femmes qui me suivait avec le valet de chambre de M. de Lancry était une fille assez triste et dont la physionomie me déplaisait sans que je susse pourquoi. On était

Je trouvai dans le salon la corbeille que m'envoyait M. de Lancry. Ainsi que l'avait prévu ma tante, il était impossible de rien voir de plus élégant et de plus riche: diamants bijoux, dentelles, châles de cachemire, étoffes, etc., tout était en profusion et d'un goût exquis. Mais j'étais trop triste pour jouir de ces merveilles. Je les aurais

Je le sais bien, répondit le brave brasseur. Les deux hommes se serrèrent la main et tout fut dit. Jacques Mérey remonta la rue de Lancry jusqu'

M. Lugarto se résigna et écrivit ces quelques lignes que lui dicta M. de Mortagne: «J'ai fait trop longtemps durer la mauvaise plaisanterie que vous savez, mon cher Lancry, je vous envoie le papier en question; que ce secret soit désormais entre vous et moi, car j'ai grande honte de tout ceci; je pars pour l'Italie! Adieu. Tout

Encore un dérangement que je ne souffrirai pas, madame; ne sommes-nous pas en famille? dis-je en prenant le bras d'Ursule. Madame Lancry a raison; allons, maman, venez, dit M. Sécherin en s'approchant de sa mère qui s'appuya sur lui et passa devant nous.

Dites donc, monsieur Servien, prenez garde qu'elle ne vous dévore quand vous allez lui servir son potage, dit mademoiselle Julie en riant et en ouvrant la porte. L'intérieur de cette chambre était toujours ainsi qu'il a été décrit par madame de Lancry dans ses mémoires.

M. de Lancry ne me dit pas un mot de regret sur l'abandon nous laissions notre retraite

J'étais sincèrement reconnaissante des services qu'il m'avait rendus; mais je ressentais toujours l'immense différence qui existait entre mon affectueuse amitié pour lui et l'amour que j'avais autrefois éprouvé pour M. de Lancry.

Je m'interrogeai franchement, en mettant de côté la prévention favorable qu'inspirent toujours chez un homme l'extrême distinction des manières, un beau nom et une très-jolie figure. Je me demandai si le souvenir de M. de Lancry me troublait, si je ressentais pour lui quelque intérêt.