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Le tour de la représentation de l'Odéon vint au moment j'étais de service, vers la fin de novembre ou dans les premiers jours de décembre. Tout était commandé et prêt pour partir

En réparant l'Odéon

Cela veut dire: «Je vous en donne ma parole d'honneurVous saurez donc que, la semaine passée, je m'étais rendue, avec deux de mes amies, Blanchette et Rougette, au théâtre de l'Odéon. Attendez que je coupe la galette, dit Marcel.

Il est clair, disait Lecoq au père Absinthe, que les craintes de notre homme augmentent en raison des espérances qu'il conçoit. Il était totalement découragé sous l'Odéon, pour un peu il se fût livré, maintenant il croit bien avoir une issue pour nous échapper avec son secret. Le prévenu longea ainsi les boulevards jusqu'au passage Vendôme. Il le traversa et gagna le Temple.

Il a été annoncé aussi dans plusieurs journaux que je faisais pour l'Odéon une pièce tirée de mon roman de Valvèdre, chose

Le vieux, qui ne comprenait pas, demanda: qu'il est, ton chantier? Chevalier voulut être admiré du vieillard: Je joue la comédie dans un grand théâtre, dit-il; je suis un des principaux acteurs de l'Odéon. Vous connaissez l'Odéon? Le gardien secoua la tête. Il ne connaissait pas l'Odéon. Après un très long silence, il rouvrit sa bouche noire: Comme ça, mon garçon, tu es en bordée.

Après le tapage de ses premiers vers, l'Odéon lui demanda une pièce, «la plus neuve et la plus hardie possible». Il fit la bluette appelée la Nuit vénitienne, qui aurait passé inaperçue dans un temps de paix littéraire, et qui tomba sous les sifflets, le 1er décembre 1830. Cet échec eut les plus heureuses conséquences.

Mais, puisque M. Paul Arène parle le français, et le meilleur, j'en profite pour l'entendre et le goûter. D'ailleurs, M. Arène est un Provençal très parisien. On le rencontre plus souvent sous les platanes du jardin du Luxembourg que dans les plaines de la Camargue, passaient les chevaux sarrasins. Il a des tendresses infinies pour les vieux pavés de la place de l'Odéon, et si on lui en faisait un reproche, il répondrait sans doute qu'il ne voit jamais si bien les maigres feuilles des amandiers se découper dans l'azur de son ciel natal que l'hiver,

Moi, je remerciais le hasard. Pour nous, c'était un bon temps. Vers minuit moins le quart, les voitures roulèrent. La sortie de l'Odéon mit une cinquantaine de groupes grelottants sur le pont, puis les autres théâtres vinrent en sens contraire.

Il était dit, cependant, que je ne devais pas rester dans le néant, que je finirais par percer la nue qui obscurcissait ma route. Un homme, un admirable ami, Duquesnel, alors directeur de l'Odéon, sur les instances de mon éditeur Hartmann, me fit venir dans son cabinet, au théâtre; il me demanda d'écrire de la musique de scène pour la tragédie antique: Les Erinnyes, de Leconte de Lisle.