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Il me serait difficile de rendre avec exacte précision tout le plaisir que ce colloque me fit éprouver, et, après un long enchaînement de vicissitudes, j'en conserve encore l'impression d'un souvenir joyeux. C'est que depuis bien du temps je désirais avec ardeur pouvoir franchement manifester

Note 22: Tout le monde connaît Descartes comme métaphysicien, comme physicien et comme géomètre; mais peu de gens savent qu'il fut encore un très grand anatomiste. Comme le but général de ses travaux étoit l'utilité des hommes, au lieu de cette philosophie vaine et spéculative qui jusqu'alors avait régné dans les écoles, il vouloit une philosophie pratique, chaque connoissance se réalisât par un effet, et qui se rapportât tout entière au bonheur du genre humain. Les deux branches de cette philosophie devoient être la médecine et la mécanique. Par l'une, il vouloit affermir la santé de l'homme, diminuer ses maux, étendre son existence, et peut-être affoiblir l'impression de la vieillesse; par l'autre, faciliter ses travaux, multiplier ses forces, et le mettre en état d'embellir son séjour. Descartes étoit surtout épouvanté du passage rapide et presque instantané de l'homme sur la terre. Il crut qu'il ne seroit peut-être pas impossible d'en prolonger l'existence. Si c'est un songe, c'est du moins un beau songe, et il est doux de s'en occuper. Il y a même un coin de grandeur dans cette idée; et les moyens que Descartes proposa pour l'exécution de ce projet n'étaient pas moins grands: c'étoit de saisir et d'embrasser tous les rapports qu'il y a entre tous les éléments, l'eau, l'air, le feu, et l'homme; entre toutes les productions de la terre, et l'homme; entre toutes les influences du soleil et des astres, et l'homme; entre l'homme enfin, et tous les points de l'univers les plus rapprochés de lui: idée vaste, qui accuse la foiblesse de l'esprit humain, et ne paroît toucher

II. ANGLETERRE. À notre connaissance, la Triste ballade a été traduite sept fois en anglais. Chose étonnante, elle ne figure pas dans la traduction anglaise du Voyage en Dalmatie (Londres, 1778). Est-ce le manque de quelques caractères typographiques spéciaux qui en aura empêché l'impression, ou bien Fortis avait-il alors perdu le goût de la poésie populaire? Nous n'en savons rien. Toutefois, la première version anglaise qui en ait été faite paraît être: «The Lamentation of the Faithful Wife of Asan-Aga», par sir Walter Scott (1798 ou 1799). Ce poème non seulement ne figure pas dans les

Ces mots prononcés d'une voix vibrante retentirent dans tout le salon. L'impression fut pénible. Tout le monde eut le pressentiment d'un malheur. Je vis Julie Mikhaïlovna pâlir. Un sot accident ajouta encore

Je regarde, Monseigneur, ces dernières prodigalités comme l'effet de l'impression qu'ont fait sur l'esprit du roi les communications récentes que j'ai été chargé de faire. Il se raidit en se punissant lui-même contre les reproches trop fondés qui lui ont été adressés. Il regarde la Westphalie comme perdue pour lui. Il met toutes les chances dans son armée et dans le commandement qu'il espère obtenir. Tous ses regards se tournent sur la Prusse et sur la Pologne; mais l'impression que tout cela fait sur le public et sur tous ses serviteurs honnêtes est inexprimable. Le public date cet abandon ou le laisse aller de l'incendie du château. D'un autre côté, il n'est que trop vrai que depuis l'entrée au ministère de M. de Malchus, depuis le travail du budget qui a mis

La Société accueillit par les plus vives acclamations ce chaleureux discours, dont elle vota d'enthousiasme l'impression, la distribution et l'envoi aux armées .

Cette fois, l'impression fut si nette, que Jeanne s'avoua qu'elle ressentait de l'effroi; mais l'effroi fut rejeté comme l'avait été l'inquiétude, au-dehors de cette âme emplie jusqu'aux bords parla joie et l'espérance.

Vous pouvez juger, lui disait Lindorf, de l'impression que me fit cette lettre, par celle qu'elle vous fait

Il a, au plus haut point, le sentiment de l'histoire. Pour lui, juger un livre, ce n'est nullement analyser l'impression plus ou moins voluptueuse qu'il en a reçue; mais c'est, essentiellement, le «situer» dans une série. On connaît son mot: «Je ne loue jamais ce qui m'amuse». Son objet est de fixer la valeur des oeuvres par rapport, non

Ah! c'est un plaisir de trouver dans ce volume de Flaubert, ces colères, ces indignations qui se disent, qui se crient, qui se gueulent, selon son expression, dans la conversation, mais qui n'arrivent presque jamais au public par l'impression.