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Je heurtai quelqu'un dans cette course aveugle. Je m'arrêtai, honteux; j'ôtai mon chapeau, je demandai pardon. Mais quoi! c'était la vieille femme au perroquet et au petit chien noir. C'était elle que je venais de heurter. Elle marchait toujours du même pas, portant le même volatile sur le même doigt.

J'ôtai ma casquette et je le saluai avec un respect craintif; mais lui, sans dire mot, ouvrit un des battants de la porte devant laquelle il se tenait.

Fabriqué avec du crêpe qui datait de la mort de M. de Lavalle, il offrait l'apparence d'une galette que des limaçons effrontés auraient choisie pour théâtre de leurs ébats. Il m'enlaidissait évidemment, et, cette idée ne pouvant pas se supporter, j'ôtai mon chapeau, j'en fis un bouchon et je le mis dans ma poche, dont l'ampleur, la profondeur faisaient honneur au génie pratique de Suzon.

«Sans perdre de temps, j'ôtai au domestique ses bottes, sa capote et son bonnet. Alors, enlevant ma capote, mon habit et mon bonnet de police, je le lui mis sur la tête et le forçai

J'ôtai mon bonnet, je le jetai

Grâce aux bonnes leçons de M. Huart, je me tirai fort bien de mes trois révérences. J'ôtai et je remis mon gant sans trop de gaucherie. J'allai ensuite recevoir l'accolade du roi et des princes, ses frères , de M. le duc de Penthièvre , de MM. les princes de Condé, de Bourbon et d'Enghien . Par un bonheur dont j'ai mille fois remercié le ciel, M. le duc d'Orléans n'était pas

Je ne fis aucune réflexion. J'ôtai mes sabots pour ne pas faire de bruit sur le roc, et, par un sentier de chèvres qui tombait tout droit sur les derrières du moutier, je suivis

En ce moment j'ôtai ma main, et il ouvrit les yeux.

Cette découverte me parut d'abord insignifiante, elle me rappela tout simplement la bonté du matelot, bonté qui contrastait avec la rudesse du lieutenant; c'était la seule pensée que j'avais eue au moment cette lame précieuse m'avait été donnée. Tout en faisant cette réflexion, j'ôtai le couteau de ma poche, et l'ayant jeté au loin pour qu'il ne me gênât plus, je me recouchai sur les planches.

Chose singulière, c'était l'obscurité qui m'était le plus pénible; j'avais d'abord souffert de ne pas pouvoir me tenir debout, et de la dureté des planches lorsque j'étais couché; mais j'avais fini par en prendre l'habitude; il m'avait été d'ailleurs facile de remédier au second de ces deux inconvénients. La caisse, vous vous le rappelez, qui se trouvait derrière mes biscuits, était remplie d'une grosse étoffe de laine, formant des rouleaux serrés comme on les fait dans les manufactures. Pourquoi ne m'en serais-je pas servi pour rendre ma couche un peu plus confortable? Aussitôt pensé, aussitôt fait. J'ôtai les biscuits de la première caisse, j'élargis l'ouverture que j'avais pratiquée dans le couvercle de la suivante, et j'arrachai, non sans peine, l'un des rouleaux d'étoffe qui s'y trouvaient contenus. J'en tirai un second, puis un troisième, qui vinrent plus facilement, et qui devaient suffire