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Donc si je n'avais peur de devenir très faible, j'avalerais encore moins que ce que j'avale, tellement c'est répugnant.

Qu'est-ce que tu veux que je fasse ici? répondit-il le coeur gros; c'est joli, ici, c'est cossu même. J'y serais trop bien, je m'ennuierais, je serais comme un oiseau en cage. Il faut que je trotte, moi, que j'avale de l'air, que je voie des figures! Celle de ton prince ne me va guère, et la mienne ne lui va pas du tout. Et puis, c'est un étranger, un coalisé!

CANONET. Assez de coquilles, dites donc! J'avale l'intérieur, voil

Mon père m'a mis en pension chez eux; il dîne je ne sais , au collège sans doute, avec les professeurs d'élémentaires. Moi, j'avale des soupes énormes, dans des écuelles ébréchées, et j'ai ma goutte de vin dans un gros verre, quand on mange le chevreton.

Je lis immensément depuis quelques jours. Je dis immensément, parce qu'il y a bien trois ans que je n'ai lu la valeur d'un volume in-octavo, et que voici depuis quinze jours trois ouvrages que j'avale et digère: l'Eucharistie, de l'abbé Gerbet; Réflexions sur le suicide, par madame de Staël; Vie de Victor Alfieri, par Victor Alfieri. J'ai lu le premier par hasard; le second par curiosité, voulant voir comment cet homme-femme entendait la vie; le troisième par sympathie, quelqu'un me l'ayant recommandé comme devant parler très-énergiquement

«Allons, bois cela, ça te fera du bienJ'avale l'eau-de-vie tout d'un trait, ce qui me fait éternuer pendant cinq minutes et me mouille les yeux, comme si j'avais pleuré toute la nuit. La langue me cuit

Comme Chamfort, lui ai-je répondu; j'avale une couleuvre tous les matins: cela m'aide

Oh! bien simple, dit Valentine; j'avale tous les matins une cuillerée de la potion qu'on apporte pour mon grand-père; quand je dis une cuillerée, j'ai commencé par une, et maintenant j'en suis

Je ne réponds rien. J'avale silencieusement les outrages, je ferme l'oreille aux provocations. C'est dur, tout de même; je ne sais pas si j'aurai le courage de supporter cela pendant les trente-quatre mois que j'ai encore

»M. Belle-Rose s'était placé entre Fanfan et moi. Tout le temps du repas il eut soin de nous. C'était toujours la même chanson: videz donc vos verres, et il les remplissait sans cesse. Qui m'a bâti des poules mouillées de votre espèce? disait-il d'autres fois; allons! un peu d'émulation, voyez-moi, comme j'avale ç