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« On donna publiquement lecture de plusieurs interrogatoires de prévenus non présents aux débats. En vain les avocats des prévenus s'y opposèrent; cette lecture fut ordonnée par arrêt. « On avait appelé pour témoin un nommé Leprieur, précédemment coaccusé et acquitté dans l'affaire des campagnes. Cet homme n'a pas paru.

Au bout de ces trois années, le procès du surintendant était terminé, l'instruction, les interrogatoires, les rapports étaient achevés, les délibérations durèrent cinq jours, pendant lesquels les avis les plus divers furent émis, appuyés sur des textes et des opinions de tout genre, les uns rappelant le procès de Verrès et citant Cicéron et Tite-Live, les autres invoquant les pères de l'

Voici un fragment d'un de ses interrogatoires après qu'elle fut reconnue innocente; on lui parle encore comme

Huit ou dix jours après cet événement, le colonel, seul dans sa chambre, lisait attentivement les interrogatoires des accusés et toutes les pièces du procès. Il vit avec surprise qu'Alcide accusait Frédéric de deux vols graves commis au préjudice de M. Georgey et d'un pauvre orphelin reçu par charité chez Bonard père.

Ces accusations tombent devant les faits. Le président Jeannin interrogea Ravaillac le 14 mai, jour même du parricide. Ce monstre subit deux autres interrogatoires devant le premier président Achille du Harlay et d'autres magistrats. Il soutint, même dans la question, que personne ne l'avoit excité

On remarqua dans les interrogatoires, qu'elle donnait

«Il est faux qu'une désignation arbitraire des personnes inculpées ait réglé le sort de celles qui furent fusillées. Une rigoureuse légalité présidait au contraire aux interrogatoires. Je fus chargé de fouiller les gens pour m'assurer s'ils étaient porteurs d'armes, et j'en trouvai beaucoup dans ce cas. Je fus chargé en outre de voir si les personnes inculpées étaient des soldats belges déguisés, chose facile

Quand tous les conspirateurs furent arrêtés, alors leur procès commença. Tous les huit jours, M. d'Argenson et M. Leblanc, chargés des interrogatoires, arrivaient accompagnés de l'abbé Dubois. On eût cru voir Minos,

Et de fait, il ne parlait pas beaucoup, Arsène Lupin. Depuis des mois M. Jules Bouvier, le juge d'instruction, s'y évertuait vainement. Les interrogatoires se réduisaient

Le 27 décembre, les commissaires reprirent les interrogatoires et redemandèrent les deux principaux défenseurs de l'ordre. Mais le premier de tous, Pierre de Boulogne, avait disparu. Son collègue, Raynaud de Pruin, ne pouvait plus répondre, disait-on, ayant été dégradé par l'archevêque de Sens. Vingt-six chevaliers, qui déj