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Les serins des Canaries qu'on apporte en Europe sont nés dans les barancos, ou les sillons que l'eau forme en descendant des montagnes. L'île Ténériffe est aussi fort abondante en cailles et en perdrix, qui sont d'une grande beauté, et beaucoup plus grosses qu'en Europe. Les pigeons ramiers, les tourterelles, les corbeaux et les faucons, y viennent des côtes de Barbarie. Il y a peu de montagnes l'on ne découvre des essaims d'abeilles. Les chèvres sauvages grimpent quelquefois jusqu'au sommet du pic. Les porcs et les lapins ne sont pas moins communs dans l'île. À l'égard du poisson, il y est généralement de meilleur goût qu'en Angleterre. Les homards n'y ont pas les pattes si grandes. Le clacas, qui est sans contredit le meilleur coquillage de l'univers, croît dans les rocs, il s'en trouve souvent cinq ou six sous une grande écaille. On estime aussi une sorte d'animal qui a six ou sept queues longues d'une aune, jointes

Le cheval vient joyeux, siffle bruyamment, fait sous lui, dans ses roues, une fumée blanche qui monte et l'enveloppe. «Vous avez le tempsdit un employé. Des paniers de congres se rangent encore dans le wagon de marchandises, et de petites corbeilles d'osier, berceaux minuscules des homards, des brèmes, des poissons délicats dorment sur un lit de fenouil frais.

Attends, dit Michele, je n'ai pas fini. La terre, pour qu'elle produise, il faut la labourer, l'ensemencer; la mer se laboure toute seule et s'ensemence d'elle-même. Nous avons beau y puiser des moissons de soles, de rougets, de mulets, de lamproies, de murènes, de raies, de homards, de turbots, de langoustes, plus nous en prenons, plus il y en a; les moissons succèdent aux moissons, sans qu'on ait besoin d'engraisser ou de fumer la mer. C'est ce qui me fait dire: la terre est aux riches, mais la mer est aux pauvres et

«Et pourquoi ça, notre maître? dit Hugh. Qu'est-ce que je peux faire de mieux que de ne pas m'en désoler? Il me semble que vous, vous ne vous en désolez pas trop non plus. Oh! vous n'avez pas besoin de me le dire, cria-t-il au moment l'autre allait parler, vous n'avez pas besoin de prendre vos airs tristes et solennels, je sais bien que vous ne vous en souciez guère. On dit qu'il n'y a personne comme vous dans Londres pour savoir faire une salade de homards. Ha! ha! je savais ça, comme vous voyez, avant de venir ici. Allez-vous en avoir une bonne, ce matin? Avez-vous jeté un coup d'oeil au déjeuner? J'espère qu'il y en a

Salade de Homard. Prenez deux beaux homards, détachez-en la carapace, coupez en rondelles les queues et pattes que vous assaisonnez avec sel, poivre, huile, vinaigre et fines herbes. Placez, au milieu d'un plat une petite salade de laitue assaisonnée, dressez-y vos rondelles de homard en couronne, nappez ensuite la salade de homard et entourez-la d'oeufs cuits durs.

Je distinguais tout ce dont j'étais environné; je voyais entre autres choses, d'horribles monstres, des homards et des crabes gigantesques, s'approcher de moi en rampant, comme pour me déchirer de leurs tenailles aiguës et se repaître de ma chair. L'un d'eux surtout captivait mon attention: il était plus grand que les autres, avait l'air plus féroce, et me menaçait de plus près.

Je n'ose jamais rien, et ma hardiesse, je la mets tout entière dans ce que j'appelle, avec un faste pédantesque, mes concepts. Tout dort, excepté moi. Si j'écoute au plancher, je ne percevrai que la respiration calme de Madame Vernet. Par l'oeil-de-boeuf, j'entendrai le doux ronflement de la mer. Les rouges pêcheurs Cruz gardent au creux de leur lit de plume l'immobilité de deux homards cuits.

Comme je l'ai dit dans une des pages précédentes, il y avait parmi cette bande ailée des oiseaux de plusieurs genres. Tous ceux qui étaient groupés sur les pierres étaient bien des mouettes, mais de deux espèces différentes: les unes avaient la tête noire et les ailes grises, tandis que les autres étaient presque entièrement d'un blanc pur; leur taille différait ainsi que leur couleur, mais rien ne surpassait la propreté de leur plumage, et leurs pattes, d'un beau rouge, avaient l'éclat du corail. Elles étaient occupées, bien que de diverses façons; quelques-unes cherchaient évidemment leur nourriture composée du fretin des crabes, des crevettes, des homards et d'autres animaux curieux que la mer avait laissés

Bouillon de crustacés. Lorsque vous avez beaucoup de carapaces de homards, langoustes, crabes, etc., pilez-les dans un mortier, les passer ensuite au beurre dans une casserole, en les tournant sur le feu avec une cuiller de bois; mouillez ensuite avec une demi-bouteille de Sauterne et du bouillon de poisson, ajoutez un bon bouquet de persil garni.

Prenez les chairs de deux beaux homards cuits; coupez-les en petits dés ou carrés, de manière