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M. de Guermantes, heureux qu'elle me parlât avec une telle compétence des sujets qui m'intéressaient, regardait la prestance célèbre de sa femme, écoutait ce qu'elle disait de Frans Hals et pensait: «Elle est ferrée
Conférence, 1902. Paris, Mercure de France, 1903. Quatre Prosateurs Belges. Paris, Mercure de France, 1904. Histoire de la Peinture française au XIXe siècle. Paris, Mercure de France, 1906. Bruxelles, Larcier, 1907. La Nef Désemparée. Paris, Mercure de France, 1908. Franz Hals. Paris, Laurens, 1909. Roseaux. Paris, Mercure de France, 1908. La Damnation de l'artiste. Bruxelles, Deman, 1890.
«Ça a l'air fait avec rien, reprit le peintre, pas plus moyen de découvrir le truc que dans la Ronde ou les Régentes et c'est encore plus fort comme patte que Rembrandt et que Hals. Tout y est, mais non, je vous jure.»
Il paraît que l'empereur Guillaume est très intelligent, mais il n'aime pas la peinture d'Elstir. Je ne dis du reste pas cela contre lui, répondit la duchesse, je partage sa manière de voir. Quoique Elstir ait fait un beau portrait de moi. Ah! vous ne le connaissez pas? Ce n'est pas ressemblant mais c'est curieux. Il est intéressant pendant les poses. Il m'a fait comme une espèce de vieillarde. Cela imite les Régentes de l'hôpital de Hals. Je pense que vous connaissez ces sublimités, pour prendre une expression chère
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