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Je dormais depuis quelques heures, et je crois que j'aurais dormi jusqu'au retour de ma mère Jacques, quand le son d'une cloche me réveilla subitement. C'était la cloche de Sarlande, l'horrible cloche de fer qui sonnait comme autrefois: «Dig! dong! réveillez-vous! dig! dong! habillez-vousD'un bond je fus au milieu de la chambre, la bouche ouverte pour crier comme au dortoir: «Allons, messieursPuis, quand je m'aperçus que j'étais chez Jacques, je partis d'un grand éclat de rire et je me mis

J'ouvris ma porte, et Adélaïde, en me voyant, recula de surprise. J'étais méconnaissable. «Oh! mon Dieu, madame, que vous paraissez souffrir! Non, ce n'est rien, lui dis-je. Mais allez prier le propriétaire de descendre, je veux partir. Partir? Oui, habillez-vous. Il faut d'ici

Habillez-vous, Yvonne, et ensuite je vous emmènerai d'ici; je vous conduirai dans une belle maison il y a de vives lumières, des jeunes femmes et d'aimables cavaliers. Nous souperons. Vous ne mangerez plus l'ignoble morceau de pain que le misérable vous donnait. Yvonne n'écoutait pas.

Effaré, il courut ouvrir, en chemise, et se trouva devant M. Vigneron, son voisin. Oh! de grâce, monsieur l'abbé, habillez-vous vite! On a besoin de votre saint ministère.

Décidément, l'homme est un animal fort ingrat et fort égoïste.... Mais habillez-vous; tenez, vous voyez que M. de Morcerf vous donne l'exempleEn effet, Albert passait machinalement son pantalon de taffetas par-dessus son pantalon noir et ses bottes vernies. «Eh bien! Albert, demanda Franz, êtes-vous bien en train de faire des folies? Voyons, répondez franchement.

Le secrétaire du conseil l'ouvrait, et après avoir lu le premier vers toujours ainsi conçu: Je chante les fureurs de Mars et de Bellone, il disait au poète: Habillez-vous, poltron; votre ouvrage sera examiné par l'Institut. Après l'idylle, la belle Lucrèce commençait la lecture d'une héroïde sur les amours de Sapho, lorsque la voix de Tullie annonça le citoyen Alcibiade.

J'entends une clef grincer dans la serrure. Je me réveille en sursaut, terrifié, couvert de sueur. C'est Justine qui entre. Monsieur Jean, habillez-vous vite... Il est sept heures... Et votre tante... votre pauvre tante... Une idée me traverse le cerveau. Je me dresse sur mon séant. Morte? Non... non... mais... Justine! dites-moi la vérité! Venez vite, monsieur Jean...

Êtes-vous toujours d'avis de résister, Barras? demanda Gohier Oui, répondit Barras. Eh bien, alors, habillez-vous et venez nous rejoindre dans la salle des séances. Allez, dit Barras, je vous suis. Les deux directeurs se rendirent dans la salle des séances. Au bout de dix minutes d'attente: Nous aurions attendre Barras, dit Moulin: si Moreau est une s..., Barras est une p...!

Passez dans ce cabinet, habillez-vous

Au fait, dit Porthos en regardant s'éloigner complaisamment son ancien laquais, vous avez raison, d'Artagnan, Mouston suffira, Mouston a fort belle apparence. D'Artagnan sourit. Et vous, dit Porthos, ne vous habillez-vous point de frais? Non pas, je reste comme je suis. Mais vous êtes tout mouillé de sueur et de poussière, vos bottes sont fort crottées?