United States or Cook Islands ? Vote for the TOP Country of the Week !


Les pattes nous arrêteront plus longtemps. Celles de la première paire sont assez grêles; le premier article des tarses, aussi long que les suivants réunis, est garni en dessous de poils courts et serrés, formant brosse. Aux pattes de la deuxième paire, ce premier article des tarses est fortement élargi en palette et muni aussi en dessous d'une brosse. Les pattes (fig. 18 a et b) de la troisième paire sont tout

Très pâle, il se leva, regarda autour de lui d'un oeil attendri ce joli cabinet, bien clos, plein de chaleur et de lumière douce, ce large fauteuil si commode, ses livres, son tapis, les grands stores blancs de ses fenêtres, derrière lesquels tremblaient les branches grêles du petit jardin, puis, s'avançant vers le brave commandant, il lui prit la main, la serra avec énergie, et d'une voix roulaient des larmes, stoïque cependant, il lui dit «Je partirai, Bravida

Il avait la tête grosse, les épaules étroites, les bras longs, les mains petites et presque délicates, les cuisses et les jambes grêles, mais d'une longueur démesurée, et ses genoux monstrueux l'étaient moins encore que les deux pieds qui soutenaient cet étrange ensemble.

Il parla ainsi. Et le corps monstrueux du dieu se redressa de l'enclume; et il boitait, chancelant sur ses jambes grêles et torses. Et il éloigna les soumets du feu, et il déposa dans un coffre d'argent tous ses instruments familiers. Puis, une éponge essuya sa face, ses deux mains, son cou robuste et sa poitrine velue. Il mit une tunique, prit un sceptre énorme et sortit de la forge en boitant. Et deux servantes soutenaient les pas du roi. Elles étaient d'or, semblables aux vierges vivantes qui pensent et parlent, et que les dieux ont instruites. Soutenu par elles et marchant

Ici le mimosa aux feuilles grêles et dentelées, l'ébénier avec ses élégantes girandoles jaunes, les sabris aux gousses rouges appuyés sur des abricotiers sauvages; l

L'un, avec ses cheveux noirs, son teint basané, ses membres grêles, son oeil sombre, était le type de cette race méridionale qui compte parmi ses ancêtres des Grecs, des Romains, des Arabes et des Espagnols.

Et, dans l'ombre bleuâtre de la glace, elle crut voir se lever les figures de Saccard et de Maxime. Saccard, noirâtre, ricanant, avait une couleur de fer, un rire de tenaille, sur ses jambes grêles. Cet homme était une volonté. Depuis dix ans, elle le voyait dans la forge, dans les éclats du métal rougi, la chair brûlée, haletant, tapant toujours, soulevant des marteaux vingt fois trop lourds pour ses bras, au risque de s'écraser lui-même. Elle le comprenait maintenant; il lui apparaissait grandi par cet effort surhumain, par cette coquinerie énorme, cette idée fixe d'une immense fortune immédiate. Elle se le rappelait sautant les obstacles, roulant en pleine boue, et ne prenant pas le temps de s'essuyer pour arriver avant l'heure, ne s'arrêtant même pas

Cet homme est Morok, le dompteur de bêtes féroces, surnommé le Prophète. Il a quarante ans, sa taille est moyenne, ses membres grêles, sa maigreur extrême; une longue pelisse d'un rouge de sang, fourrée de noir, l'enveloppe entièrement; son teint, naturellement blanc, est bronzé par l'existence voyageuse qu'il mène depuis son enfance; ses cheveux, de ce blond jaune et mat particulier

Au-dessous du tableau de Corinne figurait, comme un Oswald vieilli, M. de Chateaubriand; cette place dissimulait, derrière les paravents et les fauteuils des femmes, la disgrâce de ses épaules inégales, de sa taille courte, de ses jambes grêles; on n'entrevoyait que le buste viril et la tête olympienne.

C'était une de ces blondes aux yeux noirs qui cachent, sous une enveloppe délicate, un esprit vigoureusement trempé et qui sont, pour ainsi dire, des exceptions dans l'ordre des choses naturelles. En voyant ces grêles créatures, vous les croiriez phthisiques, ou atteintes d'une maladie incurable; il vous semblerait qu'elles trébuchent déj