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Puis, comme il est question de son volume futur sur les pierres précieuses, et que Daudet dit superstitieusement, que la pierre précieuse est dangereuse, maléficiante, Montesquiou conte, que lord Lytton, qui avait un culte pour la comtesse Greffulhe, lui avait laissé une pierre gravée, admirable. Mais sur cette pierre, il y avait des caractères qui intriguaient la comtesse. Elle la faisait porter

Après cette résolution, que je n'entendis pas sans peine, l'événement fut ce qu'il devait être; M. Greffulhe devint de plus en plus corpulent, fut sujet aux inconvénients l'extrême obésité, et,

Quelques jours après, la princesse de Vaudémont, sa protectrice, le tança vertement d'avoir publié cette affaire. On le mena déjeuner chez madame de Vintimille. Mesdames de Girardin et Greffulhe, ses nièces, s'y trouvèrent; elles pleurèrent beaucoup. Le général Clarke, auquel Lescour était accoutumé d'obéir comme ministre de la guerre, lui reprocha de s'être vendu

M. Greffulhe fit la promesse exigée, en me prenant la main, et dès le lendemain je lui délivrai mon fetva, dont le premier article était de se peser au commencement et

Mercredi 25 février. À midi, enfin arrive une dépêche de la comtesse Greffulhe, qui m'annonce d'une manière positive, que l'Impératrice de Prusse ne viendra pas décidément chez moi, ce qui me comble de joie, vu que dans l'état des esprits et le mouvement d'éreintement de ma personne, cette visite aurait fait demander ma tête.

Le samedi suivant, qui précédait le dimanche gras 13 février 1820, il y eut un bal costumé chez monsieur Greffulhe, riche banquier qui avait épousé mademoiselle du Luc de Vintimille et qu'on avait créé pair de France. La fête était très belle; tout ce qu'il y avait de meilleure et de plus élégante compagnie

Les gens perdus dans le brouillard, se retrouvent autour des tables du souper offert par Daudet, sur lesquelles se dressent quatre faisans, au merveilleux plumage, que m'a envoyés la comtesse Greffulhe «

Je commence par un fait qui prouve qu'il faut du courage, soit pour se préserver, soit pour se guérir de l'obésité. M. Louis Greffulhe, que sa majesté honora plus tard du titré de comte, vint me voir un matin, et me dit qu'il avait appris que je m'étais occupé de l'obésité; qu'il en était fortement menacé, et qu'il venait me demander des conseils.

On était fort en train de s'amuser, quoiqu'un des personnages de la farce, l'amphitryon de la veille, monsieur Greffulhe, eût été retenu chez lui par une indisposition dont, par parenthèse, il mourut cinq jours après.

Qu'est-ce que vous dites, monsieur de Goncourt, de la surprise qui m'arrive? me jette la comtesse Greffulhe.