United States or Czechia ? Vote for the TOP Country of the Week !


Il y a quatre camps dressés dans la vaste plaine de Koçovo près de la blanche église de Samodréja: l'un de ces camps est celui du roi Voukachine, le second celui du despote Ougliécha, le troisième au voïvode Goïko, et le dernier au tzarévitch Ouroch . Ces princes se disputent le trône, ils veulent s'ôter la vie, et se percer de leurs poignards d'or, ne sachant

I. [Note 1: Les Merniavtchevitch, c'était Voukachine et ses deux frères, Ougliécha et Goiko. «Voukachine Merniavtchévitch résidait

Quand elle fut au bord de la Boïana, Goïko Merniavtchévitch l'aperçut, et le cœur du jeune homme se serra, il eut pitié de sa chère petite épouse, il eut pitié de son enfant au berceau, qui n'était que depuis un mois, et les larmes coulèrent sur son visage. La svelte jeune femme le vit (pleurer), elle s'avança jusqu'

Cependant la douleur du héros devenait plus cruelle, et il détourna la tête pour ne plus voir sa femme; sur cela arrivèrent les deux Merniavtchévitch; les beaux-frères de la jeune femme de Goïko, et l'ayant prise par ses blanches mains, ils l'emmenèrent vers la forteresse pour l'y emmurer, et appelèrent Rad l'architecte qui appela

Un peu de temps ainsi se passe, puis le jour tombe et la nuit sombre arrive. Le lendemain, quand l'aurore parut et que la cloche eut sonné devant l'église, les princes se rendirent aux matines et assistèrent au service, puis sortant du temple ils prirent place devant les portes, ils mangèrent le sucre et burent la rakia . Marko prit les anciens livres; il les consulta et dit: «Mon père, ô roi Voukachine! est-ce trop peu pour toi de ton royaume? est-ce trop peu? puisse-t-il rester sans maître[A]! car c'est la couronne d'autrui que vous vous disputez. Et toi, mon oncle, despote Ougliécha! est-ce trop peu pour toi de ta despotie? est-ce trop peu? puisse-t-elle rester sans maître! car c'est la couronne d'autrui que vous vous disputez. Et toi, mon oncle, voïvode Goïko! est-ce trop peu pour toi de ta voïvodie? est-ce trop peu? puisse-t-elle rester sans maître! car c'est la couronne d'autrui que vous vous disputez. Voyez (sinon que Dieu ne vous voie point!) ce que dit cette lettre: «L'empire est