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MADAME BONARD. Qu'y a-t-il donc? Julien, as-tu vu quelque chose? JULIEN. Rien du tout, maîtresse. Je ne sais pas ce que c'est. M. GEORGEY. My goodness! voyais! voyais! Il courait! Il sautait fosse! Il tombait! Eh! vitement! Master Bonard il arrivait! Oh! very well! il était au fondation fosse. Ah! ah! ah! master Bonard il s'arrêtait.

Julien compte passer sa vie près de ses bienfaiteurs, qui espèrent le garder toujours. Il parle souvent avec M. Georgey de l'avantage qu'il y aurait

M. Georgey lui expliqua avec beaucoup de peine qu'étant resté en arrière il avait vu ce qui s'était passé au tournant du petit bois. Alcide en était sorti en courant, poursuivi par M. Bonard qui se trouvait encore dans le plus épais du taillis; Alcide, se voyant au moment d'être pris, avait sauté dans le fossé; s'y était couché tout de son long, caché par un saule dont les branches retombaient sur le fossé; que M. Bonard, sorti du bois, n'avait plus trouvé Alcide et revenait sans doute

Une turkey, une dindone toute, sans couper aucune choseEt il avala du vin que lui versa Alcide; M. Georgey remplit le verre de Julien. «Toi boire, pétite Juliène», dit-il en vidant son verre, qu'Alcide s'empressa de remplir de nouveau, tandis que Frédéric remplissait celui de Julien.

MADAME BONARD. Oh oui! Monsieur, toute confiance, je vous assure. M. GEORGEY. Mille mercis, Madme Bonarde. Alors vous tous sauvés et satisfaits. MADAME BONARD. Comment? Que voulez-vous faire? Comment empêcherez-vous le père de rougir de son fils, et le fils de garder rancune

M. GEORGEY. No, no, my dear! c'était trop pour une povre homme solitaire, ridicule. savais que faisais des sottises, beaucoup, que les autres riaient de moi. savais. savais. Ils faisaient justiceQuand Bonard fut tout

M. GEORGEY. Et votre mari, Madme Bonarde? lui pas venir? MADAME BONARD. Non, Monsieur; je n'ai pas osé lui en parler. M. GEORGEY. J'étais étonné, très étonné. Master Bonarde faisait mal; et croyais il faisait toujours bien. MADAME BONARD. Il attend peut-être une demande de Frédéric.

Et, tout en pleurant. Julien s'endormit. Pendant ce temps, qu'avaient fait Alcide et Frédéric? A la fin du spectacle, ils s'en allèrent tout doucement, de peur de réveiller M. Georgey et Julien. Quand ils se trouvèrent hors du théâtre, Frédéric demanda

JULIEN. Ce pauvre M. Georgey! Ce n'est pas sa faute. Je me souviens,

A mesure que M. Georgey parlait, le visage de Bonard s'éclaircissait. Quand M. Georgey eut terminé son explication, le pauvre Bonard, rempli de reconnaissance, se précipita