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Selon François-Jules, jusqu'alors sans ombrage, François-Charles et Andrée, grandis ensemble, ne s'accordaient mutuellement que la chaste tendresse habituée
Quand arriva le moment des classements qui suivent tout décès, François-Charles, entrant un soir, après son repas, dans le cabinet de son père, s'assit
Et, par mots entrecoupés, il lui dépeignit son irréfrénable amour. «Tu seras ma femme, Andrée», dit-il, joignant les mains, «sinon... oh!... je mourrai, moi... moi... ton bienfaiteur.» Anéantie, la pauvre enfant se croyait la proie d'un cauchemar. «J'aime François-Charles», murmura-t-elle; «je ne veux être qu'
Père encore pantelant de chagrin, François-Jules pour pouvoir en s'illusionnant croire au retour de la disparue, prit chez lui l'indigente orpheline, qui, douce et ravissante, lui inspirait une vive tendresse. Nature aimante, François-Charles, que de fréquents sanglots secouaient encore
Jetant de loin dans l'âtre sa cigarette achevée, François-Charles, très intéressé au vu de l'écriture paternelle, se mit
François-Charles apprêté par Canterel, choisit pour renaître, comme l'indiquait certain tragique geste final de brusque chute, les derniers moments de sa vie, durant lesquels, tout le prouvait dans son attitude, il avait,
Sachant, par des articles de presse, tout ce que Canterel tirait des morts, elle songea que, facticement ranimé, François-Charles devrait logiquement revivre, comme ayant été plus frappantes pour lui que nulles autres, les minutes, sans doute grosses de révélations précieuses pour la cause de Thierry, durant lesquelles tels faits l'avaient poussé
Sur une demi-page blanche subsistant au bout de la confession, François-Charles, voulant, par scrupule de conscience, qu'on pût un jour connaître et juger sa conduite, consigna d'abord les faits de sa terrible soirée puis, non sans leurs motifs, ses projets immédiats concernant le réensevelissement des aveux et son suicide.
Elle et François-Charles s'étaient de tout temps réciproquement adorés. Enfants, par les jours de vacances, ils égayaient la maison ou le jardin du bruit de leurs jeux mêlés de purs baisers. Adolescents, ils se confiaient leurs rêves, discutaient de communes lectures. Et dernièrement, se sentant tout l'un pour l'autre, ils s'étaient juré de s'unir, n'attendant qu'un moment propice pour s'ouvrir
Dès lors il contraignit souvent feu François-Charles
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