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Je crains que les reproches de lord Palmerston, qui, entre nous, me semblent dénoter peu de bonne foi, ne produisent pas un très bon effet sur l'empereur. M. Fould, que je n'ai pas rencontré ce matin, en sera, je pense, très irrité. Je lui ai laissé un mot en le priant de ne faire aucun usage de cette lettre avant d'en avoir causé avec moi.

Si M. Fould remet nos finances en bon ordre, il est probable que, pendant quelque temps, nous serons dans la plus belle position politique la France ait été. Malheureusement tout dépend de la vie et de la santé d'un seul homme. J'attends beaucoup de l'excellente mesure qu'il a prise et que notre ami a provoquée. Il s'est très sagement lié les mains, se sentant entouré de gens disposés

J'ai reçu une lettre de M. Fould. Il me paraît un peu aigri et de mauvaise humeur. Je crois qu'on a mis très peu de procédés dans l'affaire. On m'écrit que les circulaires de Persigny font bon effet, même chez les opposants.

M. Fould dans une de ses dernières lettres me demandait de vos nouvelles; sa conversion de la rente a eu plein succès, mais il a contre lui une masse d'ennemis dont les plus dangereux ne sont pas les déclarés. Cependant il me paraît avoir bon courage, et bonne disposition de mordre qui le mordra.

Il a réclamé, et Antonelli a fini par avouer que cette variante était de la main même de Sa Sainteté. Comment trouvez-vous cela? Paris, dimanche 11 novembre 1860. Mon cher Panizzi, J'ai vu ce matin M. Fould; il m'a dit, ce que je savais déj

Je prie M. Fould d'ouvrir immédiatement un crédit de cinquante mille francs

Le discours de M. de Royer a seulement scandalisé les gens honorables, qui l'ont fait taire. M. Fould lui a fait des représentations très énergiques et le président Troplong aussi; mais le petit magot avait la joie d'un singe qui vient de casser une porcelaine. Cela m'a fait passer une triste semaine.

Je reviens de chez M. Fould. Il était

Outre les considérations que je vous ai dites et qui ont influé sur la détermination de M. Fould, il y en a encore d'autres assez importantes. Le commerce et les gens d'affaires, qui ont grande confiance en lui, l'ont supplié de rester, protestant que sa retraite causerait des catastrophes terribles. D'autre part, il était

Il nous entretient de son livre la QUESTION ROMAINE, qui vient d'être saisi. Il nous dit, et nous le croyons, que l'Empereur a corrigé les épreuves, que Fould y a travaillé et que Morny a fourni la fin, «la Métropole