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Nous ne savons pas ce que veut dire ce mot de Morlaquène, qui porte, il nous semble, une marque nettement stendhalienne. Serait-ce un ouvrage sur les Morlaques, le Voyage de Fortis par exemple, que Mérimée aurait eu fini de lire? ou bien, est-ce un surnom appliqué par lui

Fortis ne dut avoir entre les mains qu'une copie de cette chanson et non pas le texte imprimé, car il s'y trompa et la crut véritable poésie populaire. Nulle part, en effet, il ne mentionna Kačić comme en étant l'auteur .

IV. Autres Pays. Outre la version de Fortis, il existe d'autres traductions italiennes: de P. Cassandrich, dans les Canti popolari epici serbi, Zara, 1888, pp. 195-202; de N. Jakšić, de Zarbarini, etc. George Ferrich a mis la Triste ballade en hexamètres latins, dans son Epistola ad Joannem Muller, Raguse, 1798, pp. 17-20. Il s'est servi de la traduction italienne de Fortis . Le poète hongrois bien connu, François Kazinczy a traduit le Klaggesang de Goethe en sa langue maternelle. La ballade est traduite aussi en tchèque, par S.R. Slovak, et en russe (deux fois: par Vostokoff et, en partie, par Pouchkine). Une version espagnole figure, sans doute, dans la traduction de Smarra de Charles Nodier, parue

Nous avons dit comment, en 1774, l'Italien Fortis révéla

L'abbé Albert Fortis , membre de plusieurs académies italiennes et étrangères, que l'on nomme aujourd'hui encore «il primo naturalista d'Italia et uno dei primi d'Europa», publia

Tout d'abord, il est aisé de se rendre compte qu'en 1816, il n'avait pas encore eu les Morlaques entre les mains. Il fit en effet paraître cette année dans la Biographie universelle un article sur Albert Fortis, il prétendait que le roman de Mme Wynne n'était qu'une «paraphrase un peu étendue d'un chapitre du Viaggio in Dalmazia», ce qui provoqua une maligne rectification de la part de Ant.-Alex. Barbier (dans son Examen critique et complément des Dictionnaires historiques, Paris, 1820, p. 346). Nodier fut piqué au vif, c'était au bibliographe qu'on s'en prenait! il répondit finement

Après cette sévère critique, quoi de plus naturel qu'une confiance universelle en l'érudition slavicisante de Nodier. L'année suivante , il en reçut le premier témoignage: on le chargea de composer l'article sur Fortis pour la Biographie universelle de Michaud. Cet article est conservé dans la dernière édition du même dictionnaire.

La comtesse de Rosenberg avait puisé la plus grande partie de ses renseignements sur la Dalmatie dans ce même Voyage de Fortis que Mérimée mit, plus tard,

Fortis les a traduits assez exactement: Allor che vide L'afflitta donna il doloroso scritto, De' suoi due figliuolin' baciò le fronti, E delle due fanciulle i rosei volti.

Au mois de juin 1771, Fortis partit pour la seconde fois en Dalmatie. Il y resta plusieurs mois, envoyant