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Voy. le cinquième Discours de Fleury, sur l'Hist. Eccl. Le P. Sarti, dans son Traité de Cl. Prof. Bonon., t. I, part. I, p. 260, prouve que ce fut vers l'an 1140, et Tiraboschi est de cet avis, t. III, p. 346.

Matth., III, 11; Marc, I, 8; Luc, III, 16; Jean, I, 26; III, 5; Act., I, 5, 8; X, 47. Act., II, 1-4; XI, 15; XIX, 6. Cf. Jean, VII, 39. Jean, XV, 26; XVI, 13. Jean, XIV, 16; I épître de Jean, II, 1. Jean, XIV, 26; XV, 26; XVI, 7 et suiv. Comp. Philon, De Mundi opificio, § 6. Jean, XV, 16. Comp. l'épître précitée, l. c. Papias, dans Eusèbe, Hist. eccl., III, 39. Jean, VI, 32 et suiv.

G. Dubois, Hist. Eccl. paris., t. I, l. On a même contesté qu'il ait été chanoine régulier, quoique ce titre lui soit souvent donné, et qu'il ait au moins formé dans cette maison une congrégation temporaire, ce qu'Abélard appelle un conventicule de frères, un ordre de clercs réguliers, qui put être le type et fut certainement l'origine de l'institution définitive.

L'officialité du diocèse de Cambrai réunie pour juger les plaintes de l'abbé Lemire contre deux ecclésiastiques. Phot. UN PROCÈS ECCL

En 1113, Louis le Gros changea le prieuré en abbaye et remplaça, dit-on, les moines noirs par des chanoines de Saint-Rufe de Valence. Le premier abbé fut Gilduin. Ab. Op., ep. i, p. 5 et 6; Not., p. 1145. Vie d'Abeillard, par D. Gervaise, t. I, p. 22. Hist. litt. de la France t. XII, art. Hugues de Saint-Victor, p. 3, et Gilduin, p. 476. Dubois, Hist. Eccl. paris., loc. cit. Gallia Christ., t.

Hoc ne nescius Esses hospes Fratres hujus eccl. C'est une imitation des deux derniers vers de l'épitaphe de l'ancien poëte Pacuvius, faite par lui-même: Hic sunt poetæ Pacuvii Marci sita Ossa. Hoc volebam nescius ne esses. Vale. A. Gell. N. At., l.

[Note 396: Bed. Hist. Eccl., II, c. XIII: «Cui primus pontificum ipsius Coifi continuo respondit» (premier prêtre d'Edwin, roi de Northumbrie, converti par Paulinus au commencement du septième siècle). Macpherson. Dissert. on the celt. antiq. Coibhi-draoi, druide coibhi, est une expresion usitée en

Matth., XXVII, 40 et suiv.; Marc, XV, 29 et suiv. Matth., XXVII, 44; Marc, XV, 32. Luc, suivant son goût pour la conversion des pécheurs, a ici modifié la tradition. Matth., XXVII, 43; Marc, XV, 33; Luc, XXIII, 44. Pétrone, Sat., CXI et suiv.; Origène, In Matth. Comment. series, 140; texte arabe publié dans Kosegarten, op. cit., p. 63 et suiv. Eusèbe, Hist. eccl., VIII, 8.

Papias, dans Eusèbe, Hist. eccl., III, 39. Ce second nom est la traduction grecque du premier. Jean, XI, 16; XX, 24 et suiv. Matth., X, 4; Marc, III, 18; Luc, VI, 15; Act., I, 13;

Il avait un parti nombreux et même des soldats. On dit qu'il prêchait sur la place devant la cathédrale d'Anvers. Il était en Dauphiné et fut l'auteur de l'hérésie des pétrobusiens, combattue par Pierre le Vénérable. Il avait commencé ses prédications en 1110, et fut brûlé par le peuple en 1130. Moshelm, Hist. Eccl. XIIe siècle, part.