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Il y avait dans les rangs commandés par le chevalier déshérité un champion couvert d'une armure noire, monté sur un cheval noir; il était d'une grande taille, avec l'apparence d'une force extraordinaire. Ce chevalier, qui ne portait aucune espèce de devise sur son bouclier, n'avait semblé prendre jusqu'alors qu'un très faible intérêt

Continuant alors son interrogatoire: «Quel est ton maîtrelui demanda-t-il. «Le chevalier déshérité.» «Qui a remporté le prix aujourd'hui? Quel est son nom et son lignage?» «Son bon plaisir est qu'on l'ignore, et ce n'est pas de moi que vous l'apprendrez.» «Et toi-même, comment te nommes-tu?» «Vous dire mon nom, ce serait vous désigner mon maître.» «Tu es un fidèle serviteur. Mais comment cet or appartient-il

C'est ce qui arriva; car le chevalier déshérité, monté sur son beau coursier, fit

«La maison fut vendue, et nos plantations, faites par nous, nos arbres, qui étaient de la famille, abandonnés. Nos animaux, visiblement, restaient inconsolables du départ de mon père. Le chien, je ne sais combien de jours, s'en allait s'asseoir sur la route qu'il avait suivie en partant, hurlait et revenait. Le plus déshérité de tous, le chat Moquo, ne se fia plus

Le second est son frère puîné, époux de Paméla, déshérité

Il n'attend pas qu'on le mérite, Il plane en deuil sur les ingrats; Lorsque le père déshérite La mère laisse ouverts ses bras; Son crédule dévoûment reste Quand les plus vrais nous ont menti, Si téméraire et si modeste Qu'il s'ignore et n'est pas senti.

Un prodigue déshérité, dont toutes les actions, depuis vingt ans, ont été, pour sa famille, autant d'injures; qui, surtout, a fait un mariage disproportionné, et n'a pas rougi de vivre au milieu de bourgeois, de marchands et de juifs! Il a donc une femme? Que vous rougiriez d'appeler votre mère. Vous l'avez vue, celle qu'il appelle sa femme. Et ne l'est-elle pas? Pas plus qu'il n'est votre père.

Cela ne se peut: un enfant ne se déshérite pas lui-même; c'est le châtiment d'un père et d'une mère justement irrités. S'il plaisait

Avant les Douze Tables nous n'avons aucun texte de loi qui interdise ou qui permette le testament. Mais la langue conservait le souvenir d'un temps il n'était pas connu; car elle appelait le fils héritier sien et nécessaire. Cette formule que Gaius et Justinien employaient encore, mais qui n'était plus d'accord avec la législation de leur temps, venait sans nul doute d'une époque lointaine le fils ne pouvait ni être déshérité ni refuser l'héritage. Le père n'avait donc pas la libre disposition de sa fortune. A défaut de fils et si le défunt n'avait que des collatéraux, le testament n'était pas absolument inconnu, mais il était fort difficile. Il y fallait de grandes formalités. D'abord le secret n'était pas accordé au testateur de son vivant; l'homme qui déshéritait sa famille et violait la loi que la religion avait établie, devait le faire publiquement, au grand jour, et assumer sur lui de son vivant tout l'odieux qui s'attachait

Un soir, l'âme du vin chantait dans les bouteilles: « Homme, vers toi je pousse, ô cher déshérité, Sous ma prison de verre et mes cires vermeilles, Un chant plein de lumière et de fraternité! Je sais combien il faut, sur la colline en flamme, De peine, de sueur et de soleil cuisant Pour engendrer ma vie et pour me donner l'âme; Mais je ne serai point ingrat ni malfaisant,