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30 septembre 1617. Monsieur, Je viens de recevoir vostre lettre de hier, par le courrier que vous m'avez dépesché. Vous pouvez juger par la qualité de la nouvelle que vous m'avez mandée, quelle est l'affliction qu'elle, m'a causé, autant pour l'affection et la tendresse que j'ay pour M. le mareschal de Gascion, que pour le préjudice que le service du roy peut souffrir de cet accident. Vous avez fort bien fait de ne pas perdre un moment de temps

Madame, j'ay miz en la lettre du Roy les particullaritez, qui servent de principal argument pour la dépesche que je fays présentement

POUR PLUS GRAND NOTICE de ce qui passe meintennant en Angleterre, oultre le contenu de la dépesche, le dict Sr. de Sabran dira

»(P.S.) Depuis huit jours, je me suis trouvée assés mal; quy m'a fait retarder cette dépesche, pour vous pouvoir mander meilleure nouvelle de ma santé, laquelle est si souvent afoiblie par maladie, que cella me faict de tant plus desirer que Dieu me fist la grâce, pendant que j'ai

Monsieur de La Mothe Fénélon, despuys vous avoir escript ce matin par La Vergne des menées de Moulins, le Sr. de Bourdeuille, ung de mes escuyers d'escurye, est arrivé venant de France, lequel parmy sa dépesche, m'a raporté que le dict Moulins s'est tant advancé en ses dictz menées que de vouloir solliciter d'envoyer un ambassadeur de France en Escosse.

Vous luy donnez, Madame, une peine inutile; En vain on a desja couru toute la ville, En vain on l'a cherché dans son appartement, Ceans, chez l'Empereur, tout s'est fait vainement, Euphemien confus met chacun en alarmes, Il dépesche par tout, sa mere fond en larmes, Et d'une voix qui fend les coeurs plus endurcis, Remplit l'air du beau nom de son cher Alexis.

Il est arrivé despuys deux jours une dépesche du duc d'Alve, suyvant laquelle l'ambassadeur d'Espaigne, qui avoit layssé le marquis de Chetona seul

Sire, parce que vostre dépesche du XXe du passé, laquelle le Sr. de Vassal m'a apportée, n'a guières miz

«Monseigneur, écrivait-elle , je croy que monsieur le comte de Hohenlohe vous aura dépesché homme exprès pour vous faire entendre l'accord fait avec les Allemands de Bosleduc , comme aussy il m'a faict ce bien de m'envoyer le capitaine Racaume, pour m'advertir de toutes les particularitez. Loué soit Dieu qui augmente sa bénédiction et l'advancement de sa gloire!

Ces commancemens de sublévation, qui ont appareu en Suffoc et Norfolc, ont miz toute ceste court en peyne, et est l'on bien fort après pour descouvrir que c'est. Celle d'Irlande semble aller en augmentant, et enfin le comte d'Ormont y a esté dépesché en poste.