United States or Sudan ? Vote for the TOP Country of the Week !


Il chatouilla; et, au second soubresaut, je déchargeai copieusement!... Dans mon extase de plaisir, j'élevai mon âme vers la divinité: Mon Dieu! je vous remercie de m'avoir donné une fille si parfaite, dont le connin trémoussant vient de me donner une idée du délice que vous éprouvez vous-même, en foutant votre fille la Nature!... Dieu de mon connin! Oh! quel digne père! quelle pieuse fille!

Et il m'encula. J'eus du plaisir; car je déchargeai. Mon père me dit ensuite: Quant

Je déchargeai aussi; mais je m'évanouis sur ses tétons encore fermes, parce qu'elle n'avait pas nourri, et qu'on ne les lui avait jamais patinés. Mme Bourgelat revint auprès de nous, au moment je m'évanouissais.

Suce... mordille-moi les tétons!... Je déchargeai délicieusement

Laissez, laissez-moi donc! Cependant elle remuait admirablement de la charnière, et le foutoir craquait sous nous... Je déchargeai, en me récriant de plaisir!... A toi, bougre...

En ce moment, j'étais sur leurs talons, et, m'adressant au grand chenapan, qui ne disait rien et tenait son bâton levé sur la tête de lord B * par manière d'intimidation, je déchargeai sur la sienne un si bon coup de ma canne, qu'il tomba comme mort.

Je continuai donc et j'atteignis enfin les portes de Bruxelles. J'y vis un fiacre, j'y voulus monter; le cocher, sans explication, me rejeta sur le pavé; je lui déchargeai ma canne sur les épaules et j'en hélai un autre. Il pouvait être huit heures du soir.

Et moi aussi! répondit-il en me saccadant. Il me re-enconna trois fois, et toujours je déchargeai... Je lavai, en lui disant: J'épuiserais dix hommes. Je lui recommandai d'instruire mon futur de ce qu'il fallait faire pour m'enconner. Je lui dardai ma langue, et je partis. J'avais été foutue 25 fois dans la journée, sept par mon père. Je retournais chez ma marchande.

J'arrivai sur les Chinois comme Mohammed tombait, et j'entends encore de sa gorge crevée sortir le flot de sang rendant le son d'un tuyau qui se vide... Puis je ne vis plus rien... Je déchargeai mon revolver devant moi, au hasard... Mes turcos enfonçaient leurs baïonnettes dans les poitrines jaunes... J'étais fou de colère... Il me semblait que c'était moi, moi qui venais d'assassiner Mohammed-ben-Saïda.

Je n'attendis pas le troisième refus du brave berger, incapable de maîtriser plus longtemps ma colère, je déchargeai ma carabine sur la tête du bandit, qui avait eu l'imprudence de se relever