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Mais le docteur Juillerat traversa vivement la salle de bal, accompagné d'Hortense qui lui donnait des explications. Madame Duveyrier les suivait. Quelques personnes s'étonnèrent, des bruits se répandirent. A peine le médecin avait-il disparu, que madame Josserand sortit de la pièce avec madame Dambreville. Sa colère montait; elle venait de vider deux carafes d'eau sur la tête de Valérie; jamais elle n'avait vu une femme nerveuse

Chez le notaire, toutefois, la lecture du contrat, rédigé sur des notes fournies par Duveyrier, calma un peu M. Josserand. Il n'y était pas question de l'assurance; en outre, le premier versement de dix mille francs devait avoir lieu six mois après le mariage. Enfin, il aurait le temps de respirer. Auguste, qui écoutait avec une grande attention, laissa échapper des signes d'inquiétude; il regardait Berthe souriante, il regardait les Josserand, il regardait Duveyrier, et il finit par oser parler de l'assurance, comme d'une garantie dont il lui semblait logique de faire au moins mention. Alors, tous eurent des gestes étonnés:

Octave s'inclina. Julie était en train de débarbouiller l'oeil de M. Vabre, avec le coin d'une serviette; mais l'encre séchait, l'éclaboussure demeurait dans la peau, marquée en taches livides. Madame Duveyrier recommanda de ne pas le frotter si fort; puis, elle revint au jeune homme, qui se trouvait déj

« M. Duveyrier, continua Mocquard, est revenu

Depuis le matin, Duveyrier agonisait. Il venait, une troisième fois, de surprendre Clarisse avec Théodore; et, comme il protestait, toute la famille des camelots, la mère, le frère, les petites soeurs, s'était ruée sur lui, l'avait jeté dans l'escalier

M. Josserand ouvrit la bouche pour crier: «Ce n'est pas moi, ce sont euxMais il gardait une pudeur de la famille, il baissa la tête, acceptant la vilaine action. Auguste continuait: D'ailleurs, tout le monde était contre moi, Duveyrier s'est encore conduit l

Moi, je suis désabusé, déclara l'oncle Bachelard. La vertu est encore ce qu'il a de meilleur. Duveyrier approuva d'un signe de tête.

Des horreurs! continua-t-il, d'une voix écoeurée. C'est plein de cochonneries sur les gens comme il faut. Même on dit que le propriétaire est dedans; parfaitement, monsieur Duveyrier en personne! Quel toupet!... Ah! ils ont bien raison de se cacher et de ne fréquenter aucun locataire! Nous savons maintenant ce qu'ils fabriquent, avec leurs airs de rester chez eux.

Nous allons de plus fort en plus fort, comme chez Nicolet. Il semble difficile de pouvoir dépasser Amédée Tissot: c'est ce qu'a fait pourtant M. Ch. Duveyrier. Lisez dans le tome VIII du Livre des cent-et-un , l'article intitulé la Ville nouvelle, ou le Paris des Saint-Simoniens, et vous aurez assurément le nec-plus-ultra du genre. Rien n'est bouffon comme la gravité prodigieuse avec laquelle M. Duveyrier, qui ne faisait pas encore de vaudevilles, décrit en style d'Apocalypse la configuration qu'il veut donner au nouveau Paris. C'est «la forme humaine mâleconformément

Alors, montant, avec lenteur, il nomma les locataires. A chaque étage, il y avait deux appartements, l'un sur la rue, l'autre sur la cour, et dont les portes d'acajou verni se faisaient face. D'abord, il dit un mot de M. Auguste Vabre: c'était le fils aîné du propriétaire; il avait pris, au printemps, le magasin de soierie du rez-de-chaussée, et occupait également tout l'entresol. Ensuite, au premier, se trouvaient, sur la cour, l'autre fils du propriétaire, M. Théophile Vabre, avec sa dame, et sur la rue, le propriétaire lui-même, un ancien notaire de Versailles, qui logeait du reste chez son gendre, M. Duveyrier, conseiller