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Quatre ou cinq autres individus partagèrent encore le même sort, quoique jusqu'ici reconnus excellens patriotes. C'étaient Proli, Pereyra, Gusman, Dubuisson et Desfieux. Nés presque tous sur le sol étranger, ils étaient venus, comme les deux Frey et comme Clootz, se jeter dans la révolution française, par enthousiasme, et probablement aussi par besoin de faire fortune. On ne s'inquiéta pas de ce qu'ils étaient tant qu'on les vit abonder dans le sens de la révolution. Proli, qui était de Bruxelles, fut envoyé avec Pereyra et Desfieux auprès de Dumouriez, pour découvrir ses intentions. Ils le firent expliquer, et vinrent, comme nous l'avons rapporté, le dénoncer

Huit jours de salle de police!... Avec le motif... Impertinence flagrante! Dubuisson, sans rien dire, continue

Lassés d'une résistance si opiniâtre et si habile, les confédérés parurent désespérer du succès, et M. Dubuisson fut Sur le point d'être abandonné et laissé

Je m'approche, soudain toute la bande se lève, et dès qu'ils sont debout, je reconnais Lapierre, Commery, Lenoir et Dubuisson; tous quatre s'empressent de me faire bon accueil et de me tendre la main de l'amitié. «COMMERY. Va, nous l'avons échappé belle, j'en ai encore le palpitant (le cœur) qui bat la générale; pose ta main l

Et bien! lorsque ces mêmes maris se trouvèrent compromis, ou coururent des dangers, on les vit s'employer pour eux avec un zèle admirable, rester aux portes de ceux dont elles espéraient la plus faible grâce, Par tous les temps, par toutes les saisons, cette malheureuse madame Dubuisson , si petite maîtresse, si élégante, courait dans la boue, par la pluie; par la neige, supportait toutes les intempéries des saisons, toutes les humiliations, pour porter quelque adoucissement au sort de son mari.

»DUBUISSON. Et par-dessus le marché, les hirondelles de la Grève que nous nous sommes rendus nez-

L'équipe a éclaté de rire au nez du cabot et l'on a surnommé Dubuisson: Bras-Court. Sacré Bras-Court! Petit

Il y a ainsi dans mon équipe un certain Dubuisson qui pourrait facilement emporter dans ses poches,

«Je ne sais comment vous raconter la scène la plus bizarre et la plus effrayante qui se soit encore vue, je croîs. Pour fêter le général Dumouriez après ses conquêtes de la Belgique, Julie Talma et son mari avaient réuni tous leurs amis dans leur jolie maison de la rue Chantereine. Vergniaud, Brissot, Boyer-Ducos, Boyer-Fonfrède, Millin, le général Santerre, J.-M. Chénier, Dugazon, madame Vestris, mesdemoiselles Desgarcins et Candeille, Allard, Souque, Riouffe, Coupigny, nous et plusieurs autres faisaient partie de cette réunion. Mademoiselle Candeille était au piano, lorsqu'un bruit confus annonça l'entrée de Marat, accompagné de Dubuisson, Pereyra et Proly, membres du comité de sûreté générale. C'est la première fois de ma vie que j'ai vu Marat, et j'espère que ce sera la dernière. Mais, si j'étais peintre, je pourrais faire son portrait, tant sa figure m'a frappée. Il était en carmagnole, un mouchoir de Madras rouge et sale autour de la tête, celui avec lequel il couchait probablement depuis fort long-temps. Des cheveux gras s'en échappaient par mèches, et son cou était entouré d'un mouchoir

Dubuisson marcha avec les Canadiens et ses alliés contre les Outagamis; il dut les assiéger dans leur fort; ils firent une défense désespérée, et n'ayant pu obtenir de capitulation, ils s'échappèrent pendant une nuit orageuse; mais on les atteignit