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Dans cette étude, l'écrivain russe passe de beaucoup en atrocité le romancier français. Mais qui pourrait distiller la terreur comme ce Dostoïevsky dont on a dit: «Sa puissance d'épouvante est trop supérieure

Halperine Kaminsky, le Russe traducteur de ses compatriotes, nous apprend que Dostoïevsky était épileptique, épileptique comme Flaubert. Et comme je lui parle de la religion des Russes pour leurs auteurs, il nous conte qu'

On vient enfin de traduire les Souvenirs de la maison des morts, par le romancier russe Dostoïevsky. De courtes indications seront peut-être utiles pour préciser l'origine et la signification de ce livre.

«Dostoïevsky appartenait

Brand. Dostoïevsky. Le crime et le châtiment. Paroles de Raskolnikov. Brand

Un des compagnons d'infortune de l'exilé, Yastrjemsky, a consigné dans ses Mémoires le récit d'une rencontre avec Dostoïevsky, au début de leur pénible voyage. Le hasard les réunit une nuit dans la prison d'étapes de Tobolsk, ils trouvèrent aussi un de leurs complices les plus connus, Dourof. Ce récit peint sur le vif l'influence bienfaisante du romancier.

Une autre catégorie de modèles pose devant le peintre: les autorités du bagne, fonctionnaires et gens de police, les tristes maîtres de ce triste peuple. On retrouvera dans leurs portraits la même sobriété d'indignation, la même équanimité. Rien ne trahit chez Dostoïevsky l'ombre d'un ressentiment personnel, ni ce que nous appellerions l'esprit d'opposition. Il explique, il excuse presque la brutalité et l'arbitraire de ces hommes par la perversion fatale qu'entraîne le pouvoir absolu. Il dit quelque part: «Les instincts d'un bourreau existent en germe dans chacun de nos contemporainsL'habitude et l'absence de frein développent ces instincts, parallèlement

Je ne me dissimule point les défauts de Dostoïevsky, la lenteur habituelle du trait, le désordre et l'obscurité de la narration, qui revient sans cesse sur elle-même, l'acharnement de myope sur le menu détail, et parfois la complaisance maladive pour le détail répugnant. Plus d'un lecteur en sera rebuté, s'il n'a pas la flexibilité d'esprit nécessaire pour se plier aux procédés du génie russe, assez semblables

Dostoïevsky parcourt en tous sens ces âmes complexes. Le grand intérêt de son livre, pour les lettrés curieux de formes nouvelles, c'est qu'ils sentiront les mots leur manquer, quand ils voudront appliquer nos formules usuelles aux diverses faces de ce talent. Au premier abord, ils feront appel

Le biographe russe de George Sand, Mme Tsebrikov, prétend que toute la génération russe des années 1830-1840 a grandi sous l'influence de Sand. «George Sand, écrivit en 1876 Dostoïevsky , est l'un des esprits qui prévoient un meilleur avenir pour l'humanité. J'eus pour elle une grande admiration dans ma jeunesse, ses romans me servaient d'école démocratique.