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Je vous demande de m'écouter. Un éclat entre vous et lui, vous le sentez, est fait pour me perdre. Je ferai tout pour le prévenir. Quoi que vous puissiez exiger, je m'y soumettrai sans murmure. Ne me quittez pas sans y réfléchir; dictez vous-même les conditions. Faut-il que la personne dont je parle s'éloigne d'ici pendant quelque temps? Faut-il qu'elle s'excuse près de vous? Ce que vous jugerez convenable sera reçu par moi comme une grâce, et par elle comme un devoir. Le souvenir de quelques plaisanteries m'oblige

»Je tirai une plume et du papier de l'armoire, car je voyais dans le nourrissage de l'enfant une bonne affaire, et je ne voulais pas que la mère la manquât. » Dictez, monsieur, dis-je en m'asseyant devant la table et m'apprêtant

Je dis que c'est pour rien, mon cher, dit Manicamp en reprenant la plume, et que vous userez mon crédit; dictez. Malicorne continua: «Que mon ami le comte de Guiche obtiendra de Monsieur pour mon ami MalicorneVoil

Faites un traité qui ne m'engage point sans vous engager ... Car je vous l'ai dit, une fille de ma race tient sa promesse, quand elle en devrait mourir. Faites de même, vous, un si grand roi! un héros! Alors, dictez.

Dictez le, par vostre serment Je vous fais loyalle promesse, Nul ne le saura, seulement Fors que lui, pour avoir leesse; Or lui monstrez qu'estes maistresse, Et lui mandez qu'il guerira, Ou s'il doit mourir de destresse, Ma Dame, le saurai je ja?

C'est une tyrannie; comment, composer et écrire en même temps? Cela est absolument nécessaire. Eh bien, je vais écrire, mais dictez.

Et de ses larges prunelles grises, rondes et brillantes comme celles d'un oiseau de proie, il fixa M. Hardy d'un air sévère. L'infortuné tressaillit sous ce regard presque fascinateur, et répondit en souriant: J'écrirai... mon père... j'écrirai... mais, je vous en supplie... dictez... ma tête est trop faible... dit M. Hardy en essuyant des pleurs de sa main brûlante et fiévreuse.

Mais si une pensée de rémission traversa son cerveau, il la repoussa, et c'est de l'air le plus sombre qu'il reprit: Encore faut-il, monsieur d'Escorval, arrêter nos conventions... Dictez vos conditions, monsieur.

Ha monseigneur vous avés tort Vous sçavés mieulx que vous ne dictez Car plus vauldroit souffrir la mort Que telles douleurs etroclites Se sont angoisses cy despites Qui font le sens perdre et tourner Aumoins ceulx la en seront quictes Ne n'y faudroit plus retourner Damp prieur

Soyez tranquille, mon fils, je guiderai votre chère main... dictez seulement... Mon père, je vous en prie, écrivez vous-même... je signerai. Non, mon cher fils... pour mille raisons... il faut que tout soit écrit de votre main; quelques lignes suffiront. Mais, mon père...