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Voici en quels termes en parle M. d'Ortigue: «J'ai dit dans un précédent article que les Concerts spirituels, publiés

Rien de pareil, ai-je besoin de le répéter, dans l'ouvrage de M. d'Ortigue; et si je diffère avec lui d'opinion sur quelques points, au moins sais-je bien en quoi et pourquoi cette différence existe. Son ouvrage a pour but principal d'étudier et de faire comprendre la nature de l'art musical religieux, c'est-

Mon cher d'Ortigue, J'ai déj

D'après l'avis de M. d'Ortigue, je crois, une importante coupure fut pratiquée dans le récit du père Laurence, refroidi par des longueurs le trop grand nombre de vers fournis par le poète m'avaient entraîné. Toutes les autres modifications, additions, suppressions, je les ai faites de mon propre mouvement,

Le lendemain, deux ou trois hommes de lettres, MM. d'Ortigue, Brizeux, Léon de Wailly, plusieurs artistes conduits par cet excellent baron Taylor, et quelques autres bons coeurs, vinrent, par amitié pour moi, conduire Henriette

Les Troyens avaient été la suprême espérance de Berlioz; leur chute causa sa longue agonie de six ans. A partir de ce moment, ses idées devinrent de plus en plus sombres; les souffrances physiques ne lui laissèrent plus aucun repos. Il avait tant compté sur son opéra! Au sortir de la répétition générale, il était allé chez madame d'Ortigue, la digne femme d'un de ses plus vieux amis. Il lui avait fait l'effet d'un spectre, tant il était pâle, maigre, décharné: «Qu'y a-t-il, s'écria-t-elle effrayée? Est-ce que la répétition aurait mal tourné, par hasard?... Au contraire, dit l'autre en se laissant tomber sur une chaise. C'est beau, c'est sublime!...» Et il se mit

J'ai dîné dernièrement avec d'Ortigue chez cet excellent Rémusat, et nous y avons bu

Que devient M. Bertin? 76, Harley street, London, 15 mars 1848. Mon cher d'Ortigue, Il y a longtemps que je veux t'écrire et, c'est aujourd'hui seulement que j'en trouve le temps. La vie de Londres est encore plus absorbante que celle de Paris; tout est en proportion de l'immensité de la ville.

M. d'Ortigue, bien entendu, ne rend pas Rossini responsable de toutes ces extravagances, c'est sur l'arrangeur seul que tombe sa critique. Il blâme vivement l'illustre maître, au contraire, d'avoir écrit certaines parties de son Stabat, qu'il trouve avec raison, ce me semble, plus théâtral dans son ensemble que religieux. Mais ce n'est pas la faute de la musique, de l'art mondain, comme il l'appelle, et il a tort de se laisser entraîner peu

Oui, mon bon cher d'Ortigue, tu as raison; c'est mon indomptable passion pour tout ce que je connais de l'art, qui me donne si facilement des sujets de chagrin, de douleur même. Pardonne-moi de t'avoir laissé lire si aisément dans ma pensée; je sentais que cela devait te faire de la peine et il m'était impossible de retenir les paroles qui me brûlaient les lèvres. Il est tout naturel que tes convictions religieuses aient amené des opinions analogues dans tes théories sur l'art. J'aurais y songer et me taire. Quand il s'agit des jugements portés sur ce qui me regarde directement, sur mes ouvrages, par exemple, l'extrême habitude de la contradiction me fait les supporter, comme je le dois, c'est-