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Mais, en cela, quelle étonnante succession d'événements divers, qui avaient tous tendu au même but: la délivrance de Fragoso, au moment il allait mourir d'épuisement dans la forêt d'Iquitos, l'accueil hospitalier qu'il avait reçu

Eh bien, ce miracle, un homme prétendait l'accomplir! Cet homme, c'était le juge Jarriquez, et maintenant il y travaillait plus encore dans l'intérêt de Joam Dacosta que pour la satisfaction de ses facultés analytiques. Oui! un revirement s'était absolument fait dans son esprit. Cet homme qui avait volontairement abandonné sa retraite d'Iquitos, qui était venu, au risque de la vie, demander sa réhabilitation

Ce fut par suite de ces circonstances qu'en 1830 Joam Garral devint le nouveau fazender d'Iquitos,

Je ne dis pas que mon père connaisse Torrès, répondit Benito, mais oui!... il me semble que Torrès connaît mon père!... Que faisait-il, cet homme, aux environs de la fazenda, lorsque nous l'avons rencontré dans la forêt d'Iquitos? Pourquoi a-t-il refusé dès lors l'hospitalité que nous lui offrions, pour s'arranger ensuite de façon

Ce serait, en vérité, comme une partie de la fazenda d'Iquitos qui se détacherait de la rive et descendrait l'Amazone, avec tout ce qui constitue une famille de fazenders, maîtres et serviteurs, dans leurs habitations, dans leurs carbets, dans leurs cases.

Ainsi, quand nous avons rencontré Torrès dans les forêts d'Iquitos, son dessein était déj

On retrouvait en elle la vaillante fille de Magalhaës, la digne compagne du fazender d'Iquitos. L'attitude de Joam Dacosta, d'ailleurs, était faite pour la soutenir dans cette épreuve. Cet homme de coeur, ce puritain rigide, cet austère travailleur, dont toute la vie n'avait été qu'une lutte, en était encore

Et de quoi? Je veux savoir comment vous avez pu reconnaître Joam Dacosta dans le fazender d'Iquitos! Comment j'ai pu le reconnaître! répondit Torrès, ce sont mes affaires, cela, et je n'éprouve pas le besoin de vous les raconter! L'important, c'est que je ne me sois pas trompé, lorsque j'ai dénoncé en lui le véritable auteur du crime de Tijuco!

L'établissement d'Iquitos comprenait, sur l'ensemble de son exploitation, quelques-unes de ces magnifiques forêts, qui sont, pour ainsi dire, inépuisables dans cette partie centrale du Sud-Amérique.

Votre âge? Cinquante-deux ans. Vous demeuriez?... Au Pérou, au village d'Iquitos. Sous quel nom? Sous le nom de Garral, qui est celui de ma mère. Et pourquoi portiez-vous ce nom? Parce que, pendant vingt-trois ans, j'ai voulu me dérober aux poursuites de la justice brésilienne