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Tormasof fut battu; mais une autre armée, que la paix de Bucharest rendit disponible, vint se joindre aux restes de la première. Dès lors, la guerre sur ce point devint défensive. Elle se fit mollement, comme on devait s'y attendre, et quoique, avec cette armée d'Autrichiens, on eût laissé des Polonais et un général français.

L'empereur Napoléon gardait Braunau comme gage des bouches de Cattaro, et le gouvernement autrichien se trouvait ainsi toujours victime de la mauvaise foi qu'avait montrée son commissaire en remettant les bouches aux Russes. Afin de terminer cette affaire, les deux gouvernements projetèrent une opération combinée de Français et d'Autrichiens pour prendre Cattaro; on devait réunir des moyens communs et égaux pour faire le siége de Castelnovo et de Cattaro. M. le comte de Bellegarde m'écrivit par le major d'Albeck, pour me faire les propositions relatives

L'armée ennemie formait la circonvallation parfaite; les Russes ainsi que les Prussiens composaient sa droite, la gauche était presque entièrement formée d'Autrichiens.

Vous me direz que Napoléon non moins «le Grand», a fait tuer cinq millions de Français, et on peut supposer un nombre au moins égal d'Autrichiens, de Prussiens, de Russes, d'Italiens, d'Espagnols, d'

Allons, calme-toi, dit Hâan en riant, nous sommes de ton avis, quoique des milliers d'Autrichiens, et de Prussiens aient laissé leurs os en Champagne. Qui sait? nous buvons peut-être en ce moment la quintessence d'un caporal schlague!», s'écria Fritz. Tous trois se prirent

Notre colonne de droite avait passé la rivière avant nous. Nous avons été plusieurs jours pour arriver au Rhin, mais aucun Autrichien ne s'est trouvé devant nous. Le soir du passage de la rivière, le général de brigade Richard nous a annoncé la prise de Juliers avec vingt-quatre pièces de 27 en bronze. Depuis cette époque, nous n'avons plus vu d'Autrichiens que sur l'autre rive du Rhin, près de Düsseldorf . Notre dernier camp a été dans la plaine près de la ville de Neus. Voil

Le major, saisissant la pensée de Napoléon, s'écria: «Oui, nous sommes déshonorés si nous ne rapportons notre colonel!...» Et il s'élance au pas de course. Le régiment le suit au cri de: «Vive l'Empereurs'élance dans Essling, extermine quelques centaines d'Autrichiens, reste maître de la position et reprend le cadavre de son colonel, qu'une compagnie de grenadiers vient déposer aux pieds de l'Empereur. Vous comprenez parfaitement que Napoléon ne tenait nullement

Il est impossible d'écrire des nouvelles: les gueux d'Autrichiens fouillent toutes les lettres. »P. S. J'aurais pu vous envoyer beaucoup de commérage et quelques informations réelles, si toutes les lettres ne passaient point par l'inspection des barbares, et que je voulusse leur faire connaître autre chose que mon horreur pour eux. Ils n'ont vaincu que par trahison, soit dit en passant

Un de mes amis qui revient d'Italie m'a dit que dans une petite guerre qui a eu lieu près de Vicence dernièrement, on avait fait manoeuvrer un régiment autrichien devant un régiment de Trente. Quand on a exécuté les feux, les Tyroliens ont mis des cailloux et des clous dans leurs fusils, et il y a eu une trentaine d'Autrichiens tués ou estropiés.

Néanmoins l'ennemi se ressaisit. Une armée de Prussiens, de Hessois et d'Autrichiens investit Mayence en avril 1793. Bientôt le roi de Prusse, Frédéric-Guillaume, vint presser les travaux du siège. La ville fut héroïquement défendue, mais, faute de vivres, dut capituler