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Comme je vous vois, répondit M. d'Astarac, et même de plus près, au moins en ce qui regarde les Salamandres.

Ce sont, dit M. d'Astarac, les cabbalistes juifs, arabes et persans. Vous venez d'ouvrir la Puissante Main. Vous trouverez

En me tenant ce discours, M. d'Astarac s'était engagé dans le sentier des Mandragores déj

Marchez avec précaution, nous dit M. d'Astarac. Ce sentier a ceci de dangereux, qu'il est bordé de Mandragores qui, la nuit, chantent au pied des arbres. Elles sont cachées dans la terre. Gardez-vous d'y mettre le pied: vous y prendriez le mal d'aimer ou la soif des richesses, et vous seriez perdus, car les passions qu'inspire la mandragore sont mélancoliques.

Mais il est certain que, en sautant hors du carrosse, je tombai, peu s'en faut, sur M. d'Astarac, dont la haute figure était plantée comme un arbre au bord de la chaussée. Je le saluai poliment et lui marquai ma surprise d'un si heureux hasard.

Après avoir gravi le premier étage d'un large escalier de pierre, nous fûmes introduits dans un salon, M. d'Astarac était occupé

Dès que M. d'Astarac fut dehors, mon bon maître s'assit devant le papyrus de Zozime et, s'armant d'une loupe qu'il trouva sur la table, il commença le déchiffrement. Je lui demandai s'il n'était pas surpris de ce qu'il venait d'entendre.

Ah! monsieur, répondis-je, tenez la présentation pour faite. Je n'ai de sentiment que pour assister mon bon maître. Soit! dit M. d'Anquetil. Et, s'approchant de M. d'Astarac: Monsieur, dit-il, je vous ai pris votre maîtresse; je suis prêt

M. d'Astarac sourit avec bienveillance et s'exprima de la sorte en nous mettant dehors: Bien que sachant

Ah! dit M. d'Astarac, je ne vous savais pas si philosophe ni d'un esprit si subtil.