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Pour s'en rendre compte, le lecteur ne saurait mieux faire que de comparer la traduction qu'a donnée Fortis de La noble épouse d'Asan-Aga avec celle du présent volume.

Quelle blancheur dans ces vertes forêts! sont-ce des neiges ou des cygnes? Hélas! les neiges seraient fondues, les cygnes envolés. Ce ne sont ni des neiges ni des cygnes, mais les tentes d'Asan-Aga, il demeure gémissant et blessé. Sa mère et sa sœur l'ont visité; son épouse serait venue aussi, mais la pudeur la retient.

À cette époque, il connaissait fort bien cet ouvrage, car il en parle dans son premier article, et, dans le troisième et le quatrième, il donne une analyse de la Triste ballade de la noble épouse d'Asan-Aga.

Traduction de Prosper Mérimée, dans la Guzla, Paris et Strasbourg, 1827, pp. 251-255: «Triste ballade de la noble épouse d'Asan-AgaNous nous occuperons plus longuement de cette traduction. Qu'y a-t-il de blanc sur ces collines verdoyantes? Sont-ce des neiges? sont-ce des cygnes? Des neiges? elles seraient fondues. Des cygnes? ils se seraient envolés.

Si cette pudeur est donc toute naturelle, la conduite d'Asan-Aga nous paraît plus difficile

Répudiée, en vain l'épouse d'Asan-Aga supplie son frère: «Mon frère, puissé-je ne jamais désirer te revoir [si tu ne veux m'écouter]! Veuille ne me donner

Il est parfaitement vrai que Mme de Staël connaissait la Triste ballade de la noble épouse d'Asan-Aga, qu'elle avait lue dans la traduction de Goethe, et cela avant la publication de Corinne. «Je suis ravie de la Femme morlacque», écrivait-elle, en 1804,

L'épouse d'Asan-Aga apprend la cruelle décision de son mari et «demeure désespérée

L'histoire d'Asan-Aga est des plus simples: il a été mortellement atteint; sa mère et sa sœur viennent le visiter dans sa tente; mais sa femme, par pudeur ou par retenue, n'ose y venir aussi. Voil

«La Ballade de l'épouse d'Asan-AgaAnalyse du poème. § 2. Traductions étrangères: en Allemagne; en Angleterre; en France; autres traductions. § 3. La traduction de Mérimée. Conclusion. La Triste ballade de la noble épouse d'Asan-Aga est la seule pièce authentique qui se trouve dans la première édition de la Guzla.