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Une nuit enfin, il pénétra dans l'étable aux porcs du château d'Arville et mangea les deux plus beaux élèves. Les deux frères furent enflammés de colère, considérant cette attaque comme une bravade du monstre, une injure directe, un défi. Ils prirent tous leurs forts limiers habitués

Ils avaient défendu qu'on les dérangeât jamais en chasse, pour aucune raison. Mon trisaïeul naquit pendant que son père suivait un renard, et Jean d'Arville n'interrompit point sa course, mais il jura: «Nom d'un nom, ce gredin-l

Personne n'osait plus sortir dès que tombait le soir. Les ténèbres semblaient hantées par l'image de cette bête. Les frères d'Arville résolurent de la trouver et de la tuer, et ils convièrent

M. d'Arville parlait bien, avec une certaine poésie un peu ronflante, mais pleine d'effet. Il avait répéter souvent cette histoire, car il la disait couramment, n'hésitant pas sur les mots choisis avec habileté pour faire image. Messieurs, je n'ai jamais chassé, mon père non plus, mon grand-père non plus, et, non plus, mon arrière-grand-père.

Ils avaient défendu qu'on les dérangeât jamais en chasse, pour aucune raison. Mon trisaïeul naquit pendant que son père suivait un renard, et Jean d'Arville n'interrompit point sa course, mais il jura: «Nom d'un nom, ce gredin-l

Voyez les Amours du grand Alcandre. Avant cela, le mari et la femme demeuroient d'ordinaire au Hâvre. Elle y fit (il est vrai que cela n'étoit pas son apprentissage) le coup le plus effronté qu'aucune femme ait guère fait en amour. Un capucin, nommé le Père Henri de La Grange-Palaiseau, de la maison d'Arville, oncle de Céleste, dont nous parlerons ailleurs, qui peut-être s'étoit fait religieux pour ne pouvoir vivre selon sa condition, faute de biens, fut envoyé par le Provincial au couvent qu'ils ont au Hâvre. C'étoit un des plus beaux hommes de France, et de la meilleure mine, homme d'esprit, et

C'étaient les deux paysans aux varices, revenus dès l'aube, obstinés et patients. Et le vieux aussitôt reprit son explication: «Ça a commencé par des fourmis qui me couraient censément le long des jambes...» Voici ce que nous raconta le vieux marquis d'Arville

On me défendit l'entrée de la maison. J'eus beau prier, supplier, rien ne put attendrir la belle dévote. Je fus malade de chagrin. Or, la semaine dernière, sa cousine, qui est aussi la tienne, Mme d'Arville, me fit prier de la venir trouver. Voici les conditions de mon pardon.

Ce dernier était fils d'un homme qui chassa plus que vous tous. Il mourut en 1764. Je vous dirai comment. Il se nommait Jean, était marié, père de cet enfant qui fut mon trisaïeul, et il habitait avec son frère cadet, François d'Arville, notre château de Lorraine, en pleine forêt. François d'Arville était resté garçon par amour de la chasse.

Les femmes elles-mêmes s'intéressaient aux récits sanguinaires et souvent invraisemblables, et les orateurs mimaient les attaques et les combats d'hommes contre les bêtes, levaient les bras, contaient d'une voix tonnante. M. d'Arville parlait bien, avec une certaine poésie un peu ronflante, mais pleine d'effet.