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Mais Nodier avait, toutefois, raison de se plaindre. Car c'était lui qui avait introduit l'Illyrie en France; exagéré, comme on le verra, l'importance du vampirisme et imaginé que le poète serbe ne chantait que cette monstrueuse superstition; lui encore qui avait «déterré» (c'est l'expression de Mérimée lui-même) le Voyage en Dalmatie de Fortis, traduit la ballade de la Noble épouse d'Asan-Aga que l'auteur de la Guzla va traduire

Le brave Asan-Aga, qui a vu de loin cette scène, rappelle autour de lui ses enfants: «Venez ici, mes orphelins, puisqu'elle ne veut pas avoir pitié de vous, votre mère au cœur infidèleLe dénouement du poème tient en quatre vers: Quand l'épouse d'Asan-Aga entendit cela, De son visage blanc contre terre elle donna, À l'instant rendit l'âme, L'infortunée, de la douleur qu'elle eut

qui signifient: «Quand l'épouse d'Asan-Aga entendit cela, de son visage blanc contre terre elle donna,

Aux pages 89-188 du second volume sont traduites les ballades de la Guzla, excepté la dernière, la seule authentique, la Triste ballade de la noble épouse d'Asan-Aga. Dans la préface, le traducteur motivait cette absence: «Comment oserais-je, dit-il, venir après un tel Maître que Goethe et traduire de nouveau en allemand ce chant divin

Elle porte le titre de la «Chanson sur la mort de l'illustre épouse d'Asan-Aga ». Quelle blancheur brille dans ces forêts vertes? Sont-ce des neiges, ou des cygnes? Les neiges seraient fondues aujourd'hui, et les cygnes se seraient envolés. Ce ne sont ni des neiges ni des cygnes, mais les tentes du guerrier Asan-Aga. Il y demeure blessé et se plaignant amèrement.